Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16/12/2007

"Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente"... (Brassens)

"Mourir pour des idées, l'idée est excellente,
Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eue,
Car tous ceux qui l'avaient, multitude accablante,
En hurlant à la mort me sont tombés dessus"... 
 
Plus le temps avance, plus je suis surpris de l'extraordinaire véhémence, pour ne pas dire virulence, de beaucoup des textes qui émaillent le quotidien de la bayrousphère.
 
Après le congrès, j'ai eu l'habitude pendant quelques jours de faire la tournée, non pas des bars, mais des blogs, proches du Mouvement Démocrate.
 
Et je suis sidéré des véritables scuds qui sillonnent la stratosphère bayrousphérique. Tout s'y mêle : anathèmes, fantasmes, dénonciations, suspicions, on se croirait à la Convention montagnarde fin 1793. C'est même surréaliste parfois.
 
Alors, je vais vous faire une confidence : je suis sceptique. Je n'y crois pas. Je sais que tous les beaux grands mots qui sont jetés avec emphase ici ou là, même le mot démocrate, s'ils sont poussés à leur paroxysme, finissent par devenir des occasions de mourir pour les idées des autres, ou plus sûrement encore de mourir pour les intérêts des autres.
 
Si je soutiens aujourd'hui comme hier (et de plus en plus) l'action de François Bayrou, c'est parce que j'approuve sa vision historique.
 
Voilà tout. Le reste, pour moi, est littérature.
 
Je ne crois à aucune des belles réformes de fond dont fourmille la machine à paroles bayrousphérique.
 
J'ai lu Balzac, je sais que l'intérêt gouverne la vie des gens. J'ai lu Zola, je sais que les gens sont gouvernés par leurs appétits. Au mieux, ce qu'ils nomment idées ne sont en général que des préjugés ou des fantasmes, voire des alibis.
 
J'ai lu Voltaire, j'ai lu "Zadig" et je sais que les meilleures intentions sont souvent les plus mal récompensées et aboutissent à l'inverse de leur projet, qu'il vaut donc mieux cultiver son propre jardin car c'est à sa propre échelle que chacun peut améliorer la réalité, plus qu'en échafaudant des théories dans d'interminables bavardages enfumés.
 
J'approuve par exemple le projet économique de Bayrou parce que, à l'inverse des idées reçues, il est le moins dépensier, ce qui lui permet d'être le plus généreux.
 
J'approuve son souci éthique car les systèmes de prévarication et d'assistanat installés par l'UMPS (et tant pis si l'expression est de Le Pen) sont un pur scandale.
 
Et j'approuve ce que fait Quitterie Delmas, étoile naissante. Elle croit, elle, à un mouvement de fond, une vague venue des profondeurs, capable de lessiver en profondeur aussi la société française, une sorte d'enzyme glouton (comme on disait quand j'étais enfant) ou de "tornade blanche" capable de renverser les trônes et de les remplacer par une démocratie d'un genre nouveau. Elle croit par exemple à ce que dit Beppe Grillo, star mondiale de la blogosphère.
 
Pourquoi pas ?
 
Du moment qu'elle y croit, puisque je la trouve prometteuse, j'ai envie d'y croire.
 
Car je sais que là, personne ne me demandera de mourir pour des idées. 

Commentaires

Le probléme du Modem c'est qu'il n'a pas d'idées programmatiques. Tu parles du programme économique de Bayrou en disant qu'il est le moins dépensier! lequel? Celui des heures sups à +35 %, des deux emplois offerts par la société aux entreprises, .. Sa posture de non-dépensier comme tu te définis améne Bayrou a approuvé les mesures de NS sur le rachat des RTT. Une ineptie car quelles entreprises vont payer les RTT? Une minorité, quels salariés ont des RTT? Une minorité. Donc encore une fois les mesures annoncées sont bidons et les eules qui comme par hasrd paraissent de bon sen sc'est le service public de la caution et la réforme de l'indice des prix. Ca ne te rappelle rien? Ce sont des mesures utiles et qui ne coûtent rien à la collectivité.
mais parfois il faut investir pour faire des réformes? Tu ne ferais rien pour l'université toi? Rien pour la santé, pour la justice, pour l'éducation, la culture? Et pour l'emploi des jeunes aucune incitation, aucun investissement d'avenir? En fait votre probléme c'est que vous êtes pris entre deux eaux et vous n'avez pas d'originalité à part soutenir Bayrou...
Mais ceci dit on sait que vous êtes des démocrates et que vaous avez une conscience aigüe des valeurs républicaines. Ca nous fait déjà des points de convergence qu'il nous faudra approfondir si nous voulons par la suite travailler ensemble.

Salutations socialo-ségolènistes

Écrit par : asse42 | 16/12/2007

@ asse42

Pas fatigué de dire toujours la même chose ?

Écrit par : Hervé Torchet | 16/12/2007

J'approuve son souci éthique, dites vous ... Vous faites fort parce que : http://poly-tics.over-blog.com/article-7309976.html

Écrit par : jps | 16/12/2007

@ jps

Étant donné la position d'Emmanuelli au PS, condamné lui aussi, et pour les mêmes raisons, votre parti me paraît le plus mal placé pour donner des leçons.

Par ailleurs, j'ai laissé un commentaire sous votre note et vous l'avez effacé ; belle conception de la démocratie :-(

Écrit par : Hervé Torchet | 16/12/2007

Moi ce qui me gêne en général sur ce blog, c'est que l'on assiste à la naissance d'un culte de la personnalité: celui de Quitterie Delmas. Si vraiment, cher Hervé, vous pensez ce que vous écrivez à son sujet, alors de grâce ne l'écrivez plus: vous lui faites du tort. Si vous persistez dans ces compliments tant vestimentaires qu'intellectuels jamais teintés de la moindre nuance, vous arriverez à la rendre antipathique! Ce qui serait un comble!
Esther

Écrit par : Esther Ruben | 16/12/2007

@ Esther

Quand je parle de Quitterie, la fréquentation de mon blog augmente de 40%. Je ne crois donc pas lasser mes lecteurs.

Écrit par : Hervé Torchet | 16/12/2007

Peut-être sont-ils comme moi: fascinés par l'amour inconditionnel que vous semblez lui porter!
Esther

Écrit par : Esther Ruben | 16/12/2007

Moi je partage à 100% le point de vue d'Esther ?
Au fait Hervé il est où le blogue 2 ?

Écrit par : Rosa | 16/12/2007

@ Rosa

En janvier. Il faut que je mitonne ça entre les étrilles (délicieux petits crabes tout rouges quand ils sont cuits) et le cidre.

J'ai déjà un inédit de Jacques Maritain, deux ou trois documents médiévaux, et si je peux, je ferai des reportages sur des sites monumentaux bretons, un peu hors des sentiers battus.

J'ai envie, après un moment de rôdage, de livrer des interviews d'éditeurs ou d'auteurs, de temps à autre, et bien sûr mon opinion sur des livres, c'est cela qui flatte le plus mon égo ;-), et enfin quelques historiettes de la littérature francophone ou de l'histoire bretonne et européenne, voire parisienne.

Écrit par : Hervé Torchet | 16/12/2007

Quitterie, c'est quand même autre chose que Santini, particuliérement insane aujourd'hui vis à vis de Bayrou lors du congrès du nouveau centre....

Écrit par : le légataire. | 16/12/2007

@ légataire

Ah, si seulement Santini n'était pas mouillé (malgré lui ?) dans l'affaire de la fondation Hamon, et si seulement le conseil consitutionnel avait validé son élection législative dernière sur laquelle pèsent bien des incertitudes quant à quelques utilisations d'instruments publics divers...

Écrit par : Hervé Torchet | 16/12/2007

Hervé, ce programme me convient parfaitement : je prends même les crabes.

Écrit par : Rosa | 16/12/2007

Bonjour,

finalement, je finis par me demander en toute amitié si notre cher Hervé, derrière une dialectique étincelante, ne dissimule pas une âme de midinette : je me rappelle avoir lu dans mon jeune temps plusieurs romans/suites romanesques de La Varende, auteur bien oublié aujourd'hui et surtout rien moins que politiquement correct (la raison pour laquelle d'aucuns du côté droit s'efforcent de le tirer à eux car il est toujours plus facile de faire parler les morts). L'un de ces romans, intitulés "Man' d'Arc", qui raconte l'histoire de l'invraisemblable insurrection légitimiste de 1832, a pour protagoniste secondaire un délicieux gentilhomme dont les convictions monarchistes sont avant tout fondées sur les sentiments très vifs que lui inspire la duchesse de Berry et qui va donner sa vie pour cette dernière. Sauf à refuser dit-il de "mourir pour des idées", l'engouement delmasien d'Hervé me semble parfois assez proche de ce dévouement politico-amoureux.
Mais au fait, dans l'attente du second blog et pour rester dans le jeu des portraits chinois littéraires, laquelle des héroïnes des "Trois mousquetaires" est le prototype de Quitterie Delmas : la reine Anne d'Autriche, Constance Bonacieux... ou Milady de Winter ?

Bien cordialement.

Écrit par : André-Yves Bourgès | 17/12/2007

@ André-Yves

Je n'ai pas lu les "trois mousquetaires".

Les femmes "meneuses" de politique sont assez rares en littérature.

Écrit par : Hervé Torchet | 17/12/2007

@ Hervé

Comme vous Hugo, j'aime par dessus tout Alexandre Dumas : comme je l'ai écrit ailleurs, derrière le dramaturge, derrière le romancier, derrière le mémorialiste, c’est toujours le même extraordinaire dialoguiste, action et sentiment mêlés.
Et surtout des personnages à ce point attachants que leur destinée continue d'émouvoir : ainsi le fougueux D’Artagnan, notre sur-moi d'éternel jeune homme, mais également le nébuleux Athos, le pompeux Porthos et l’onctueux Aramis, qui sont comme autant de facettes d'une même personnalité. Ou bien encore la candide Constance Bonacieux, dont la grandeur d'âme et l'élévation des sentiments attestent la vraie noblesse qui toujours fera défaut à Milady et à ses semblables...

Bien cordialement.

Écrit par : André-Yves Bourgès | 17/12/2007

@ André-Yves

J'ai dévoré le "comte de Monte-Christo" mais je me suis longuement ennuyé devant "Joseph Balsamo".

Écrit par : Hervé Torchet | 17/12/2007

@ Hervé

J'aime par dessus tout Alexandre Dumas, mais pas au point de tout aimer chez lui : certaines de ses oeuvres sont incontestablement "barbantes", comme c'est le cas aussi chez le génial barbu ; mais il sera beaucoup pardonné à ces deux géants de notre littérature que la panthéonisation de l'auteur du "comte de Monte Cristo" a enfin permis d'honorer ensemble, à l'égal l'un de l'autre. Comme l'écrivait Victor Hugo lui-même : « Le nom d'Alexandre Dumas est plus que français, il est européen ; il est plus qu'européen, il est universel. Alexandre Dumas est un de ces hommes qu'on pourrait appeler les semeurs de civilisations… Ce qu'il sème, c'est l'idée française - cette idée française qui contient une quantité d'humanité telle que, partout où elle pénètre, elle produit le progrès ».

Voir à ce sujet la belle allocution du précédent Président de la République, le 26 mars 2002 :
http://www.dumaspere.com/pages/pantheon/signature.html

Écrit par : André-Yves Bourgès | 17/12/2007

@ André-Yves

Pour répondre directement à votre question sur "laquelle des trois", je dirai aucune : pas Anne d'Autriche qui était une dinde, pas Bonnacieux qui était une oie, pas Milady qui était une poule.

Écrit par : Hervé Torchet | 17/12/2007

@ Hervé

Ah çà, palsambleu, je croyais que vous n'aviez pas lu "Les trois mousquetaires" !?! Pourtant votre jugement plutôt sévère et aviculaire sur les trois héroïnes me paraît assez juste, à l'exception peut-être de Madame Bonacieux, qui mériterait plutôt d'être désignée comme une colombe (colombe fort sexy au demeurant !)

Écrit par : André-Yves Bourgès | 17/12/2007

Il ne faut jamais s'éloigner trop de ce blogue de peur de manquer quelque chose...
J'ai adoré Dumas dont la lecture correspond à un âge de la vie.
Curieux : des trois mousquetaires je n'ai retenu que les hommes, Aramis étant pour moi l'amant idéal...
Mais en ce qui concerne Sarko, je ne me poserais pas la question d'une ressemblance : aucun des 4 même pas Richelieu...
En revanche pour Bayrou, on peut de poser la question.

Écrit par : Rosa | 17/12/2007

Quand la culture rejoint le politique : des menaces sur le cinéma qui nous concernent tous. Lire le dernier Télérama.


"UGC avait déja attaqué plusieurs salles municipales dans le 93 dont le Magic à Bobigny.

Il y a une politique délibérée de prédateurs de la part de Guy Verrechia et Alain Sussfeld les patrons d'UGC : éliminer, tuer tous les petits .

Télérama de cette semaine publie un article sur ces patrons de combat. Le cinéma ( et encore moins la diversité et l'aspect culturel de ce type de média) n'est qu'une façon pour eux de faire de l'argent.

J'ai d'autres exemples précis des pratiques hégémoniques et assassines d'UGC par rapport aux salles qui se trouvent sur leur périmètres d'achalandise comme ils disent. Le pire, c'est que les patrons des petites salles indépendantes ( en l'occurence le ST Michel et le ST André des arts à¨Paris ) n'osent pas trop se plaindre de peur des représailles. On nage en plein système mafieux .


Je peux donner des exemples précis sur les salles que j'ai citées. Etant président d'une association de cinéphiles, je ne suis pas dans le collimateur de ces mastodontes , seules les salles indépendantes et municipales les gênent.
Le pire , c'est qu'essentiellement, ce n'est pas le même public. Par exemple à Montreuil, le Méliès en centre ville, fait 200 000 entrées dont moins de 50 000, sur des films dits commerciaux comme Harry Potter. UGC Rosny, où il faut aller en voiture, dans une zone commerciale, fait près de 3 millions d'entrées : 50 000 entrées, qui de plus ne sont pas leur public car les gens de centre ville préfèrent aller en famille à pied plutôt que prendre leur voiture contre 3 millions et ça les gêne !

Et c'est bien ça qui est ahurissant comme principe : faire la guerre et raser des populations qui ne vous menacent pas!
UGC représente bien notre société. Regardez bien dans Télérama, l'air satisfait de Sussfeld et Verrechia dans leur immeuble de Neuilly/Seine : sans commentaires!"

André Gomar
Président d'une association de spectateurs à Montreuil

Devinez où vivent les dirigeants d'UGC ?
à Neuilly.
Et qui se flattent-ils de bien connaître ?

Écrit par : Rosa | 17/12/2007

@ Rosa

Aramis est aussi le plus "politique" des quatre : sa carrière de "pape noir" telle qu'elle apparaît dans les suites du roman le démontre surabondamment. D'Artagnan est avant tout un soldat, presqu'un militaire et applique déjà les consignes de la Grande Muette. Aux deux opposés, Porthos et Athos mériteraient d'être mieux connus. Athos est un personnage de Roger Vailland après la dénonciation des horreurs du stalinisme : désenchanté, désengagé. Porthos est quant à lui un déclassé, entre paysannerie et noblesse, refoulé des deux côtés : un futur homme de main pour coups tordus, à la Albert Spaggiari.

Nicolas Sarkozy a longtemps endossé l'habit du traître et du spadassin, comme le comte de Rochefort ; mais le voilà désormais en pleine lumière, presque louis-quatorzien dans son identification survoltée aux différentes fonctions de l'exécutif de l'Etat.

Bien cordialement.

Écrit par : André-Yves Bourgès | 17/12/2007

@ André-Yves

Sarkozy est plutôt un personnage du théâtre de Dumas, section grand-guignol et épouvante.

Écrit par : Hervé Torchet | 17/12/2007

Donc Mitterand aurait pu être Aramis, Chirac un mélange entre d'Artagnan et Porthos. Je gardais d'Athos le souvenir plutôt d'un sage, d'un philosophe qui prenait du recul mais restait dans l'action.

Écrit par : Rosa | 18/12/2007

@ Rosa

Bien vu le rapprochement entre Mitterrand et Aramis : l'ancien Président de la Répubique avait en effet l'onction, l'esprit d'intrigue et (reconnaissons-le) un certain courage qui appartiennent également au personnage créé par Dumas.

De même pour Chirac : son côté dartagnanesque est apparu très tôt, quand il trouvait le moyen tout en même temps de vendre l'Humanité à la sortie des églises et de courtiser une fille à particule plutôt BCBG et pas vraiment dangereuse gauchiste ; il est surtout Porthos quand il engloutit Corona et tête de veau sauce gribiche. Peut-être aussi quand il "incendie" le service de sécurité israélien lors de sa visite des quartiers palestiniens ("What do you want? Do you want me to take my plane? To go back to my country? To go back to France? Is that what you want? This is provocation! This is not a method! Please, stop now!")
http://www.youtube.com/watch?v=304UHIZE01c

Pour Athos, il faut que je relise (pour la cinquantième fois peut-être) mes chers "Trois mousquetaires" : vous avez peut-être raison ; mais son alcoolisme est bien la marque d'un désenchantement...

Bien cordialement.

Écrit par : André-Yves Bourgès | 18/12/2007

André-Yves, j'ai adoré Dumas à 15 ans mais j'aurais du mal à le relire aujourd'hui, même les mousquetaires !
Vous avez gardé une âme d' ado.
Moi c'est Balzac que je ne me lasse pas de relire.
On en reparlera sur le blogue 2 d'Hervé.

Écrit par : Rosa | 19/12/2007

@ Rosa

"Une âme d'ado" : c'est la première fois depuis longtemps que quelqu'un me dit que j'ai "une âme d'ado". Si je le répète à mes filles (29, 26 et 24 ans) je crois qu'elles se tordre de rire : leur père, ce scrogneugneu, ce "vieux c... des neiges d'antan", ce "old fashioned man", cet ogre barbu, ... avec "une âme d'ado" !

Mais je prends bien sûr votre remarque comme un compliment.

Je ne lis plus de romans depuis des décennies. Mes recherches en hagio-historiographie médiévale* occupent tout mon temps libre ; je vis donc sur mon capital de lecture de jeunesse (dans lequel on peut évidemment compter au niveau des valeurs sûres, outre Dumas, non point trop Balzac ou Hugo, mais le cher Stendhal ou encore parmi les auteurs plus "modernes" - horresco referens !- Malraux, Montherlant, Bernanos,...), ce qui explique peut-être le pourquoi de cette "âme d'ado".

Oui, vivement Janvier et le démarrage du blog 2 de l'ami Torchet.

Bien cordialement.

* Merci de cliquer sur le lien suivant:
http://www.hagio-historiographie-medievale.fr

Écrit par : André-Yves Bourgès | 19/12/2007

@ André-Yves

Les Antimémoires.

Écrit par : Hervé Torchet | 19/12/2007

Cher Hervé,

Si vous écrivez désormais à la Rabutin, il ne nous sera pas toujours aisé de comprendre une prose devenue trop allusive : s'il vous plaît, dites nous quoi.

En tout cas, votre blog 2 n'est pas encore en orbite, que vous avez déjà des aficionadas/dos qui trépignent d'enthousiasme et d'impatience.

Bien cordialement.

Écrit par : André-Yves Bourgès | 19/12/2007

@ André-Yves

Vous citez Malraux, je vous indique les "Antimémoires", mon bouquin préféré dudit André (de Gaulle disait à propos de Malraux : "beaucoup de brouillard et quelques éclaircies", mais les Antimémoires sont une longue éclaircie, une rêverie).

Écrit par : Hervé Torchet | 19/12/2007

@ Hervé

Je crois que De Gaulle parlait plutôt des "fulgurances" de Malraux... Quant aux "Antimémoires", c'est également le livre de Malraux que je préfère : parce que c'est un véritable fourre-tout, qui contient presque tout (depuis le sublime jusqu'à la dérision).

Je vous laisse emporter par le tourbillon de la politique ; j'attends de vous retrouver sur votre blog 2. Je vous souhaite, ainsi qu'à tous ceux qui viennent visiter votre blog 1, de bonnes fêtes de fin d'année.

Bien cordialement.

Écrit par : André-Yves Bourgès | 21/12/2007

Les commentaires sont fermés.