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21/02/2008

Quitterie Delmas, sur BFM radio, appelle les Hauts-de-Seine au sursaut démocratique.

Quitterie Delmas était invitée ce soir de 19 heures à 20 heures du "Grand Journal" sur BFM radio.
 
Sur les sectes, sur la laïcité, où tant de polémiques naissent, ce serait grave s'il s'agissait d'une "tactique de diversion" des "vraies questions" qui préoccupent les Français, notamment "le pouvoir d'achat".
 
"Je condamne les propos d'Emmanuelle Mignon" qui remettent en cause tout le travail de ceux qui se penchent sur le dossier des sectes. D'autant plus qu'elle n'a aucune légitimité : "faire de la politique, ... il faut passer par le suffrage universel, Nicolas Sarkozy se trompe lorsqu'il met ses collaborateurs en avant".
 
"Hier soir, j'étais à Neuilly et je suis allée défendre Alexandre Harmand, candidat du MoDem". À Neuilly, il y a une vraie alternative : "le Mouvement Démocrate, une équipe solide ... Alexandre Harmand est un jeune chef d'entreprise... Il y a des élus sur la liste ... Eux au moins, ils s'occupent uniquement des habitants de Neuilly".
 
Ce qui se passe à Neuilly est significatif des "méthodes de Nicolas Sarkozy, des Hauts-de-Seine, à Puteaux, Asnières, Levallois..." "Peut-être que c'est là que (en réaction) va redémarrer la démocratie... Peut-être que c'est une fin de règne".
 
"Beaucoup de jeunes entrepreneurs viennent me voir", déçus de Nicolas Sarkozy : "on s'est gravement trompés, sur les promesses de réformes... (etc)" "C'est ce public-là qu'il va falloir convaincre de rester en France... C'est aussi notre richesse à nous".
 
Sur le pouvoir d'achat, "arrêter de faire des promesses qui ne sont pas tenables"... "Responsabiliser les Français". Ainsi, leur moral sera meilleur et ils sauront que les choses ne dépendent que d'eux-mêmes. "François Bayrou l'a dit pendant sa campagne : il faut dire la vérité aux Français".
 
À propos de la censure partielle de la loi sur la rétention de sûreté, "j'aurais préféré que ce soit une censure totale"... "on essaye de ne pas désavouer totalement Rachida Dati" mais "on rend la loi inapplicable"... "J'ai l'impression d'avoir déjà vu ça plusieurs fois".
 
"La crise que nous avons à affronter est très grave : économique, morale et politique"...