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06/01/2008

Quitterie Delmas : café démocrate le jeudi 10.

La courte campagne pour l'élection du Conseil National du Mouvement Démocrate se déroule. C'est dans ce cadre que Quitterie Delmas organise son nouveau (le 8e ?) café démocrate, jeudi 10, au café le "Pavillon Baltard", dans le quartier des Halles.

Les quatorze listes en présence en Île de France vont compliquer le choix des électeurs qui, de toutes façons, seront prévenus au tout dernier moment, puisque les listes ne seront officielles que vendredi 11 au soir, le vote devant avoir lieu les 17, 18 et/ou 19 janvier.

On n'attendra pas de moi que j'en établisse une typologie entièrement neutre, puisque je figure sur celle conduite par Quitterie Delmas. Et cependant, il est difficile de ne pas entreprendre un classement pour tenter d'y voir plus clair.

1 listes départementales (ne comptant des candidats que d'un seul département au lieu des 8) :

Nathalie Boulay-Laurent (présidente provisoire de l'Essonne, candidate sur la liste de l'UMP Serge Dassault à Corbeil)

Chantal Brault (Hauts-de-Seine, première adjointe au maire de Sceaux)

Élisabeth de Fresquet (Paris, conseiller de Paris)

Pierre Le Guérinel (Yvelines, président de feue l'UDF locale)

Jérôme Piton (Val-de-Marne, candidat aux législatives en juin dernier)

Mario Richard (Val-d'Oise, désigné par un vote des adhérents)

Philippe Stevance (Seine-et-Marne)

Philippe Trotin (Hauts-de-Seine, Isabelle Florennes, sa colistière, est candidate à Suresnes) 

La liste de Céline Alléaume, qui ne compte de Franciliens hors Paris que parmi ses premiers noms, pourrait figurer dans cette catégorie.

Il s'agit de listes chargées de garantir une représentation des futurs mouvements départementaux dans le Conseil National.

On voit que, les statuts organisant une place par président de Mouvement Départemental dans le Conseil National, cette idée est étrange. Elle l'est d'autant plus que les mêmes statuts ont entendu que fussent faites des listes régionales, c'est écrit en toutes lettres, il y a donc infraction sinon à la lettre, du moins à l'esprit des statuts.

D'autre part, le faible score qu'elles peuvent recueillir hors de leur aire rend délicate leur viabilité.

S'il y a 3000 votants (sur environ 20000 inscrits), les 3% nécessaires pour faire un élu se monteront à une centaine de voix.

Or il pourrait y en avoir environ 1000 à Paris, comme lors du dernier scrutin interne de l'UDF, et 2000 répartis dans les autres départements, 500 dans les Hauts-de-Seine (qui en compte la moitié de Paris) et un peu plus ou un peu moins de 200 dans les autres départements, ce qui rend très fragile cette stratégie, même si on projette les mêmes proportions de votants sur un corps électoral plus vaste. Dans ces conditions, il y aura des pertes et des listes pour rien.

2 Le cas parisien

Trois listes se partagent la mouvance sarnézienne à Paris :

Céline Alléaume

Élisabeth de Fresquet

Michel Bulté (à noter que le fils d'Élisabeth de Fresquet figure sur la liste de Bulté, élu comme elle du XVe).

On pourrait d'ailleurs rattacher la liste de jeunes à cette mouvance, quoiqu'elle soit en principe (et heureusement) trandépartementale :

Christelle Carcone

3 Inconnu de moi

Edmond Kaméni

4 Île de France en Mouvement

La liste conduite par Jean-Éric Branaa se place dans une mouvance interrégionale, avec l'ambition de composer un vrai courant, quoique Bayrou ait spécifiquement demandé qu'il ne s'en constituât pas.

5 Et enfin, la liste de Quitterie Delmas et des Citoyens démocrates

 

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