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10/02/2008

Astérix aux Jeux Olympiques : une histoire d'amour.

Aller voir un film familial quand la salle est pleine d'enfants, c'est un plaisir très rare pour moi qui n'en ai pas (encore). Les rires des enfants sont une des merveilles du monde.
 
Au milieu d'une journée harassante de déchiffrage de parchemins échelonnés de 1345 à 1354, j'ai décidé de m'offrir cette fraîche détente.
 
J'avoue avoir été surpris : durant le film, ils ont très peu ri. La salle était pleine, juste un éclat de rire de temps en temps mais, à la fin, ils ont applaudi, applaudi, ce fut un joyeux crépitement, plein d'enthousiasme : ils avaient été captivés par le film. Une réussite.
 
Que dire du film ?
 
D'abord une (ré)apparition : celle d'Alain Delon, en Jules César, sur le thème musical du film "Le clan des Siciliens", un frisson. Delon renaît.
 
Ensuite, autour du synopsis de l'album éponyme vaguement préservé, un scénario dont ne m'a intéressé vraiment que le thème éternel du chevalier servant qui doit accomplir un prodige pour conquérir le coeur et surtout (le coeur étant déjà acquis) la main de sa belle. Il m'a semblé qu'elle avait les yeux verts, avec parfois un petit liseré de brun autour des pupilles. C'est toujours joli. 

18:20 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, Astérix, Alain Delon | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

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