01/03/2007
Mon premier mois complet.
Février est mon premier mois complet. Le nombre de visites sur mes pages continue de croître lentement. Plus de 1500 connexions et 5000 pages lues. MSIE et Mozilla sont maintenant à égalité parmi les navigateurs.
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Commentaires
Félicitations pour la réussite méritée de votre blog.
Je viens de mettre à jour mon blog aujourd'hui. le sujet que j'essaye d'ouvrir est l'euthanasie.
Écrit par : Michaël | 01/03/2007
Félicitations...
Écrit par : Rosa | 01/03/2007
@ Michaël
Bonne première analyse.
Écrit par : Hervé Torchet | 01/03/2007
Merci Hervé, j'ai envoyé un article un peu plus long à AgoraVox au sujet de la méritocratie, en prenant l'exemple des concours du capes d'Histoire-Géographie, ce qui me permet par ailleurs d'aborder deux autres thèmes, celui de l'ambivalence des profs et le gouffre culturel qui existe en France en géographie. J'espère qu'il sera accepté.
Écrit par : Michaël | 01/03/2007
Le rendez-vous quotidien sur votre blog est désormais entré dans mes (bonnes) habitudes : je suis heureux d'y croiser au passage les autres commentateurs de vos posts, qui m'apprennent beaucoup eux aussi.
Écrit par : André-Yves Bourgès | 01/03/2007
Juste un mot sur Dumas, dont vous nous retracez la vie dans l'histoire de la semaine. Comme je l'ai écrit ailleurs, j'aime, j'ai toujours aimé, par dessus tout, Alexandre Dumas, avec qui j'ai pour ainsi dire appris à lire, car la bibliothèque de mes grands parents maternels, venue de mes arrière grands parents maternels, contenait les oeuvres complètes (!) de l'auteur des "Trois mousquetaires", dont je n'ai plus que les vestiges : derrière le dramaturge, derrière le romancier, derrière le mémorialiste, c’est toujours le même extraordinaire dialoguiste, action et sentiment mêlés. Et des personnages à ce point attachants que leur destinée continue d'émouvoir : ainsi le fougueux D’Artagnan, notre sur-moi d'éternel jeune homme, mais également le nébuleux Athos, le pompeux Porthos et l’onctueux Aramis, qui sont comme autant de facettes d'une même personnalité. Ou bien encore la candide Constance Bonacieux, dont la grandeur d'âme et l'élévation des sentiments attestent la vraie noblesse qui toujours fera défaut à Milady et à ses semblables...
Plagiant je ne sais plus qui, je pourrais dire qu'il n'y a pas un chagrin que la lecture de quelques pages de Dumas ne m'ait fait oublier. Aujourd'hui, je suis plus attiré par le récit de ses souvenirs que par ses romans ; mais la féérie demeure intacte quand je commence à relire : "Le premier lundi du mois d'avril 1625, le bourg de Meung, où naquit l'auteur du Roman de la Rose, semblait être dans une révolution aussi entière que si les huguenots en fussent venus faire une seconde Rochelle."
Écrit par : André-Yves Bourgès | 01/03/2007
je voulais dire bivalence et non ambivalence pardon
Écrit par : Michaël | 01/03/2007
Bravo Hervé. Je suis étonnée de voir que ce blog n'a qu'un mois d'âge, pour un nourrisson vagissant, il a les idées bien en place et la parole profuse ! Bonne continuation...
Écrit par : fuligineuse | 01/03/2007
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