22/08/2007
Paris me manque.
On s’en doute : je ne parle pas ici de Paris Hilton (quoique…) mais de la ville de Paris.
Quand je suis à Paris, la Bretagne me manque ; quand je me trouve en Bretagne, je regrette Paris.
En somme, je voterai pour le candidat qui inventera l’ubiquité.
Quand je suis à Paris, la Bretagne me manque ; quand je me trouve en Bretagne, je regrette Paris.
En somme, je voterai pour le candidat qui inventera l’ubiquité.
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Commentaires
PARIS nous manque à tous.
Cette année, la rentrée sera la bienvenue.
Au fait, en parlant de déplassement, vas tu à SEIGNOSSE ?
Écrit par : Guillaume A | 23/08/2007
Pardon, je parlais de déplacement, bien sur.
Écrit par : Guillaume A | 23/08/2007
@ Guillaume A
Ca ne dépend pas entièrement de moi ; je suis de ceux qui souhaitent s'y rendre.
Écrit par : Hervé Torchet | 24/08/2007
Ne t'en faispas, Paris t'aurait surement paru dépeuplé car un seul être...
Écrit par : Nef | 24/08/2007
Bonsoir cher Hervé,
Vous me faites à nouveau penser à Alphonse Daudet, dans la dernière des Lettres de son moulin, intitulée "Nostalgie de caserne" :
"Si tu as la nostalgie de ta caserne, est-ce que, moi, je n’ai pas la nostalgie de la mienne ?
Mon Paris me poursuit jusqu’ici comme le tien. Tu joues du tambour sous les pins, toi ! Moi, j’y fais de la copie... Ah ! les bons Provençaux que nous faisons ! Là-bas, dans les casernes de Paris, nous regrettions nos Alpilles bleues et l’odeur sauvage des lavandes ; maintenant, ici, en pleine Provence, la caserne nous manque, et tout ce qui la rappelle nous est cher ! ...
Huit heures sonnent au village. Pistolet, sans lâcher ses baguettes, s’est mis en route pour rentrer... On l’entend descendre sous le bois, jouant toujours... Et moi, couché dans l’herbe, malade de nostalgie, je crois voir, au bruit du tambour qui s’éloigne, tout mon Paris défiler entre les pins...
Ah ! Paris ! ... Paris ! ... Toujours Paris !"
PCC
André-Yves Bourgès
Écrit par : André-Yves Bourgès | 26/08/2007
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