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26/05/2008

Résultat moyen pour Blandine Martin dans la 11e du Rhône.

Difficile de comparer le scrutin qui a eu lieu aujourd'hui avec celui de juin dernier : il y avait bien moins de candidats et une candidature de poids s'est manifestée.
 
C'est l'ancien syndicaliste magistrat Georges Fenech qui avait emporté l'élection, on sait qu'il a été invalidé en raison d'irrégularités formelles de son compte de campagne. Qu'un magistrat ne connaisse pas la loi est toujours un sujet d'étonnement.
 
Quoiqu'il en soit, c'est son suppléant qui est candidat à son remplacement, Raymond Durand, étiqueté Nouveau Centre. Il a obtenu 7 point de moins qu'en juin dernier et, avec 41%, ne peut compter en principe que sur le report des voix de l'extrême droite (4%).
 
Blandine Martin perd plus de 3 points, passant de 9,6 à 6,2, un score douloureux, dans lequel il ne faut pas négliger la responsabilité de Michel Mercier, président du Conseil Général, qui soutenait plus la candidate du MoDem en juin dernier qu'aujourd'hui.
 
Les Verts font un score équivalent qui, à peu de choses près, représente la somme des pourcentages des divers candidats écologistes de juin.
 
Le Parti Socialiste, quant à lui, réalise le même score à une décimale près (un peu plus de 23%). Mais en juin dernier, le candidat socialiste représentait toute l'union de la gauche. Cette fois, il a à sa gauche un conseiller général communiste qui dépasse 15%, à quoi il faut ajouter 3,3% de la LCR, qui doivent faire le report de voix naturel du candidat de gauche, soit un total supérieur (plus de 48% en comptant les Verts) à celui de la droite et de l'extrême droite (presque 46%).
 
Léger avantage donc, sur le papier, à la gauche, logique puisque M. Durand a perdu au premier tour 7 points sur M. Fenech et que celui-ci avait gagné avec 56%.
 
Reste que le report des voix de Blandine Martin sera probablement décisif.
 
Dans la cantonale partielle, le candidat MoDem soutenu par le PS devance celui de l'UMP. Je n'ai pas trouvé celui d'Anne Pellet, étiquetée MoDem pur jus. 

Commentaires

Voici donc les résultats publiés sur le site de la Préfecture du Rhône

Résultats de la cantonale partielle du 5° arrondissement de Lyon :
Inscrits : 29.845
Exprimés : 6.344
Taux de participation : 21.26%
Taux de suffrages exprimés : 21.02%

* Thomas Rudigoz (MoDem soutenu par le PS) : 1.998 voix soit 31.85%
=> Anne Pellet (MoDem 100% pur jus d'orange) : 449 voix soit 7.16%

* Candidate UMP, Joëlle Sangouard : 2.082 voix soit 33.19%

Candidate Communiste, K. Leguay : 395 voix soit 6.30%
Candidat DVG, D. Malicier : 529 voix soit 8.43%
Candicat DVG, A. Pelletier : 2 voix soit 0.03%
Candidat VEC (?) B. Artigny : 307 voix soit 4.89%
Candidat Ecologiste M-L Boulot : 291 Voix soit 4.64%
Candidat FN, C. Boudot : 220 voix soit 3.51%

Second tour entre T. Rudigoz (MoDem) et J. Sangouard (UMP)

Écrit par : Thierry P. | 26/05/2008

oui à noter un modem en trois bouts.
pour préciser les résultats au-dessus (que j'ai commenté sur mon blog www.lyonnitudes.fr)
Artigny est vert Boulot est soutenue par le CNI (aile droite de l'UMP) et Génération Ecologie.
Malicier est membre du PS mais s'est présenté en autonome

Écrit par : romain blachier | 26/05/2008

@ Thierry P

Avec 21% de participation, on mesure à quel point les cantonales n'ont aucun sens en ville et comme il faudrait vite instaurer la proportionnelle pour réveiller tout ça.

Écrit par : Hervé Torchet | 26/05/2008

Il est vrai que sectoriser une grande agglomération en cantons peut paraître étrange. Ce qui me laissera toujours sans voix, ce sont ces taux de participation si bas aux scrutins "partiels" !
Que faire pour enrayer ce civisme à intermittence ?
* La proportionnelle est une solution pour que les citoyens puissent estimer être plus justement représentés. Mais quid des conséquences d'un résultat acquis par un parti "extrême" qui aurait su mobiliser sa base dans un contexte d'abstention très forte ?

Écrit par : Thierry P. | 26/05/2008

/)/)adame, /)/)onsieur, Bonjour ou Bonsoir.
_/e voudrais solliciter votre assistance à l'effet de publier ma présente requête tenant lieu de SOS. Merci de votre compréhension et bonne attention.
Samedi, Le 1 Novembre 2008

Monsieur,
Chérif OUCHENE
*: Boîte Postale n° 80
04355- Ain-Kercha (Algérie)
È: 074.00.55.58
@: ouchene_2510@yahoo.fr
L’Honorable, Nicolas SARKOZY,
Président de la République Française
Palais de l’Elysée
55, Rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 - Paris - FRANCE
OBJET: Requête. (Rappel)
REF: Réintégration dans la Nationalité Française.

Monsieur, Le Président de la République,

Je suis né français et, je veux simplement le rester. Je veux le rester au regard de la fierté de l’être. Je veux le rester au regard de l’amour éternel que j’ai envers la France. Je veux le rester au regard de l'attachement et du respect que je dois à la langue française et sa culture. Il est ridicule et inadmissible qu’on soit né français pour ensuite ne pas l’être pour des raisons aberrantes, banales et inventées! Sincèrement, je vois en cet acte une dépossession, un évincement et, surtout une torture morale sans précédent!
R-Le statut, le titre et la qualité de citoyen français me sont reconnus à la première seconde de ma naissance par la déclaration universelle des droits de l’homme, je cite notamment l’article 15 – 1e Tout individu à droit à une nationalité et 2e Nul ne peut être arbitrairement privé de sa nationalité ni du droit de changer de nationalité et, des lois de la V° République, je cite notamment l’article 21-19 (L. n° 93-933 du 22.7.93) 5e Peut-être naturalisé sans condition de stage le ressortissant ou ancien ressortissant des territoires et Etats sur lesquels la France a exercé soit la souveraineté, soit un protectorat, un mandat ou une tutelle. R-En application de l’article 2 de l’ordonnance n° 62-825 du 21 juillet 1962, Je fais ma déclaration récognitive et je déclare conserver la nationalité française éternellement. Je le fais en retard car, à l’abandon de la France à l’Algérie, je n’avais que six ans. Chose qui m’a empêché de faire cette déclaration à temps. Mes parents ne l’ont pas fait par ignorance et de peur des représailles du FLN et, puis cette ordonnance était étouffée, rare sont les algériens qui entendent parler.
R-L’extrait de la loi française du 26 juin 1889, précisant que la qualité de français ne peut être retirée qu’à la personne qui l’a déclinée par écrit article 26 du pacte international relatif aux droits civils et politiques des nations unies, ratifié par la France le 4 novembre 1980 et l’article 14 de la convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales du conseil de l’Europe signée à Rome le 4 novembre 1950, interdisant toute discrimination.
þ-Depuis le 1° juin 1951 la perte de la nationalité française est autorisée uniquement par le gouvernement. Donc, un français ne perdra jamais sa nationalité sauf par écrit si cela est accordé. Jusque là, suis-je français ou pas ? je le suis avec certitude ! N’est-ce pas ?
Ö-Il n’existe et n’existera jamais, au grand jamais de lois ni de conventions ni d’accords ni de pactes et non plus d’arguments qui m’ont fait ou feraient perdre la nationalité française. Le motif de condition de résidence qui m’est imposé à chaque fois n’est qu’un excès de pouvoir, c’est une injustice et c’est une discrimination flagrant ! Je me suis pratiquement manifesté auprès de toutes les institutions françaises mais, vainement. Mes requêtes me sont rejetées au regard de l’absence d’avocat et dans l’autre sens le B.A.J refuse de m’accorder une aide juridictionnelle pour le motif… tenez vous bien, absence d’éléments sérieux (… ?!). Un sujet auquel je me suis attaché toute ma vie devient un élément non sérieux ! Trouvez-vous ça logique ? N’est-ce pas là une déroute réelle ?
U-Je persiste: Je suis français de naissance et pour toute l’éternité ! On ne peut pas naître et ne pas être français ! C’est ridicule, inadmissible et injuste dans tous les sens !
Je vais essayer de singulariser mon cas. Il n’y a jamais eu d’indépendance en Algérie. Il y’a eu plutôt une tragédie inexcusable, je dirais un crime contre l’humanité. Vous m’avez abandonné entre les mains des terroristes et des tortionnaires du FLN. Vous m’avez abandonné entre des mains qui dépassent celles des Talibans d’aujourd’hui. Le devoir vous interpelle à me rétablir. Au regard et en guise de respect aux droits de l’homme que vous défendez dans tous les continents et, en application et en respect aussi aux lois de la V° République je vous prie de m’accorder la faveur d’être réintégré dans la nationalité française. Dans le cas où vous continuez à me nier en tant que français de naissance et pour l’éternité, vous devrez m’assister à me démarquer de la nationalité algérienne que je décline éternellement. A défaut, je sollicite une aide financière qui me permettra de déguerpir cette Algérie qui est transformée en un centre de concentration depuis la date tragique du 5 juillet 1962 à ce jour ! Je dis bien qu’il y a eu un abandon et jamais une indépendance.
Pour votre information l’Honorable SARKOZY, lors de mon séjour en France de 1998 à 2003 au titre de solliciteur d’asile et en parallèle candidat à la réintégration dans la nationalité française puis, celui de clandestin, j’ai eu pas mal d’occasions à régulariser ma situation administrative de manière frauduleuse et injuste mais, j’ai refusé et je n’ai pas voulu tricher. J’ai alors préféré laisser mon cas entre les mains d’une justice française dont j’entends parler que du bien. Malheureusement, j’ai échoué et me revoilà entre les mains des terroristes et des tortionnaires du FLN.
Vous devrez aussi et surtout comprendre Monsieur, Le Président de la République que derrière cette démarche mon intérêt principal c’est l’amour éternel que j’ai envers cette France de ma naissance et sa culture que j’adore. Le pays d’outre mer où je suis né était bel et bien la France de ma naissance. Voilà Monsieur, SARKOZY. Il est de votre devoir de m’aider. Ce n’est pas une question de séparation des pouvoirs ni d’ingérence, c’est plutôt faire respecter et appliquer les lois lorsqu’elles sont violées et piétinées, votre intervention devient une nécessité et surtout un devoir.
Je vous réconforte à l’avance que je ne serais jamais une charge. Je suis capable, j’ai des qualités et des capacités qui me permettraient de gagner ma vie et celle de ma famille. Je n’aurais aucun souci que celui d’élever mes enfants qui sont de brillants élèves dans la dignité et leur apprendre l’amour de la France et sa culture qu’ils aiment et aimeront toute leur éternité.
Je m’excuse de vous importuner. Je vous remercie d’avance, de votre compréhension et de la bonne attention que vous voudrez bien réserver à ma présente requête et vous prie, Votre Excellence Monsieur, Le Président de la République d’agréer l’expression de mon profond respect.

Chérif OUCHENE

Écrit par : OUCHENE | 01/11/2008

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