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03/03/2007

Il m'est même arrivé de lire Christian Jacq.

Un jour de désoeuvrement, je me suis assis près d'une bibliothèque qui contenait les quelques volumes du "Ramsès" de Christian Jacq.

N'ayant vraiment rien d'autre à faire, j'ai ouvert le premier volume de ce cycle.

Le style m'a pris. La jeune princesse aux seins nus, l'atmosphère ensoleillée de l'Égypte, la stature de Ramsés, tout cela avait de l'allure. J'ai lu le tout.

Fort content, j'ai tenté de m'attaquer à une autre histoire du même auteur. Hélas, j'ai eu l'impression de relire la première : le stéréotype avait figé son écriture.

Tout ce que j'ai pu avaler par la suite, c'est "Le moine et le vénérable", une narration courte sur le rapprochement a priori inattendu d'un franc-maçon et d'un homme d'Église pendant la Seconde guerre mondiale.

Disons tout de suite que Christian Jacq est spécialiste de la littérature maçonnique. N'étant pas initié, je perds sûrement une grande partie du sel de ce qu'il écrit. Mais une littérature réservée à ceux qui savent lire n'en est plus tout à fait une.

Il a produit une série d'études et de vulgarisations sur l'Égypte ancienne et sur les pharaons, à quoi il a ajouté des portraits de Champollion et du maître de la musique maçonnique : Mozart. Vraiment, il creuse toujours le même sillon.

Sa principale diversification réside dans la nuée de romans policiers qui a accompagné cette oeuvre polarisée. Ceux qui en ont lu ont le droit de me dire ce qu'ils en ont pensé.

Peut-être me donneront-ils envie de lire de nouveau de ses pages, une envie qui m'a passé.

14:45 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : écriture, littérature | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

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