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17/05/2007

Neuf ans de gestion de fait au champ de courses d'Auteuil.

Comme je l'ai évoqué voici quelques jours, la concession du champ de courses d'Auteuil (alors au GIE GALOP) arriva à échéance en 1998. Celle du champ de courses de Longchamp devait y arriver en 1999. On nous proposa alors de proroger pour un an la concession d'Auteuil, de façon à négocier en même temps les deux concessions, puisqu'il était question de ne reconduire que l'un des deux champs de courses, l'autre étant économiquement surnuméraire.
 
Autant dire que cette prorogation unilatérale, plus ou moins couronnée par les autorités étatiques compétentes, était d'une légalité douteuse. La suite le fut plus encore. 

Commentaires

Salut Hervé,

Que se passe-t-il ? Je viens de lire votre message sur mon blog : comment l'investiture pourrait-elle échapper à Quitterie ? De qui tenez-vous cette bien triste nouvelle ? Qui serait investi à sa place ?

Merci de me répondre rapidement, par exemple en me laissant de nouveau un message sur mon blog, ou en m'écrivant à tomdeslypper@yahoo.fr

J'espère vous lire très bientôt... avec de meilleures nouvelles !!

Je vais aussi essayer de joindre Virginie (je n'ai pas le n° de Quitterie).

Écrit par : Thomas Deslypper | 17/05/2007

Ne vous embêtez pas : j'ai appelé Virginie, j'ai eu toutes les infos nécessaires !

A bientôt.

Écrit par : Thomas Deslypper | 17/05/2007

"Autant dire que cette prorogation unilatérale, plus ou moins couronnée par les autorités étatiques compétentes, était d'une légalité douteuse. "

Il me semblerait utile de donner plus de détail à la fois sur le contenu de ces concessions et sur cette "prorogation unilatérale"

En quoi une prorogation de concession est d'une légalité douteuse ?

Écrit par : Laukar | 18/05/2007

@ laukar

La Ville de Paris ne disposait pas à elle seule du pouvoir juridique de proroger.

Écrit par : Hervé Torchet | 18/05/2007

Les commentaires sont fermés.