14/07/2007
Des nouvelles des chats
Bonne nouvelle dans mon gynécée : ça pouponne.
Là.
Là.
Là.
Et là.
Avec le soleil, les plus petits chatons s’aventurent dans l’herbe. Un jour prochain, ils viendront manger avec les autres.
Si vous avez des noms, n’hésitez pas à m’en donner.
En bas, le long de la rivière, les arbres tombés de l’ouragan de 1987 sont de plus en plus couverts d’algues.
En bas, le long de la rivière, les arbres tombés de l’ouragan de 1987 sont de plus en plus couverts d’algues.
La maison voisine a été rachetée par des Néerlandais. Il paraît que leur gouvernement subventionne massivement leurs achats immobiliers à l’étranger, même en Europe. Cette mesure ne me semble guère conforme à l’esprit de la construction européenne. Mais ce ne sont pas des voisins encombrants.
16:18 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Bretagne | 
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Commentaires
Cher Hervé,
Il y a dans votre "république des chats" quelque chose de réconfortant et de rafraichissant à la fois : un peu plus et vous pourriez être notre Alphonse Daudet breton, celui des "Lettres de mon moulin" bien sûr ("Ce sont les lapins qui ont été étonnés !... Depuis si longtemps qu'ils voyaient la porte du moulin fermée, les murs et la plate-forme envahis par les herbes, ils avaient fini par croire que la race des meuniers était éteinte, et, trouvant la place bonne, ils en avaient fait quelque chose comme un quartier général, un centre d'opérations stratégiques : le moulin de Jemmapes des lapins... ")
Au fait, y a-t-il un point commun entre Daudet et Giono, de même qu'entre Giono et Pagnol ? Pas plus, pas moins qu'entre le Giono ruralisant et le Giono hussardisé. Le génie littéraire provençal ne se résume pas aux seules oeuvres régionalistes et ces trois auteurs sont finalement de grands tragiques dont les sources sont à chercher plus loin encore.
Bien cordialement
Écrit par : André-Yves Bourgès | 16/07/2007
Egalement ravie de retrouver André-Yves.
Écrit par : Rosa | 16/07/2007
@ Rosa
Merci pour votre aimable commentaire : je n'avais pas abandonné la lecture du blog-notes de notre ami Hervé ; mais j'avais une espèce d'indigestion du politique, sans doute parce que je suis un peu plus âgé que lui et un peu moins passionné. Surtout, me manquait (et fait encore beaucoup défaut) le Torchet érudit et amoureux des lettres dont les notes de lecture me font penser à celles pourtant incomparables de Roger Nimier dont on a oublié qu'il fut un vigilant et passionnant critique littéraire, peut-être le Sainte-Beuve de sa génération et surtout de sa courte existence.
Écrit par : André-Yves Bourgès | 17/07/2007
Tout comme moi !
Et je lui ai dit plusieurs fois !
Écrit par : Rosa | 17/07/2007
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