Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/03/2008

Quitterie Delmas : une dynamique.

En politique, on bâtit le succès d'une campagne sur une dynamique. C'était la leçon de Jacques Chirac, qui laissait filer son image en début de campagne, surprenant ainsi ses adversaires qui le jugeaient pour mort, puis se redressant avec vigueur dans une dynamique haussière d'autant plus forte qu'elle partait de bas. il est vrai qu'il ne savait pas monter au-delà de 20%, son score à la présidentielle ayant toujours oscillé entre 18,5 et 20,5.
 
La dynamique de la présidentielle a convaincu des millions d'électeurs et des dizaines de milliers d'adhérents. Depuis ce temps, les démocrates cherchent le moyen de faire de ces électeurs et de ces adhérents une véritable communauté d'idées et d'action, capable de convaincre demain la France et les Français.
 
De toute évidence, les élections municipales ont été l'aboutissement de la dynamique présidentielle. Elles sont aussi l'occasion de ce qui restera sans doute la dernière vague de départs de cadres hérités de l'UDF vers l'UMP et ses satellites.
 
Fin d'étape, elle nécessite un rapport d'étape, qui reste à rédiger. Elle réclame aussi l'impulsion d'une nouvelle dynamique.
 
C'est à quoi Quitterie Delmas appelle à l'occasion de son prochain café démocrate, demain soir : "faire repartir une dynamique". Projet vital.
 
PS : Je vois que les sénateurs ont décidé de continuer à financer le MoDem, au moins jusqu'à la prochaine élection sénatoriale, en septembre. Je ne ferai pas de mauvais esprit, il fait voir ce que cela signifie et implique.

Les commentaires sont fermés.