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05/12/2008

De Gaulle, relève-toi, ils sont devenus fous !

Ici Périgueux, les gaullistes parlent aux gaullistes,

Les chefs qui, depuis de nombreux mois, sont à la tête de l'UMP, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force de l'argent, financière et politique, de l'ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont les billets verts, les complices, la tactique des grandes puissances qui nous font reculer. Ce sont les billets verts, les complices, la tactique des grandes puissances qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France gaulliste. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car la France gaulliste n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste prestige derrière elle. Elle peut faire bloc avec le MoDem, qui tient la barre et continue la lutte. Elle peut, comme le MoDem, utiliser sans limites l'immense industrie de l'Internet.

Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis sarkozystes. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique des apparatchiks, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.

Moi, Daniel Garrigue, actuellement dans le maquis à Périgueux (et au standard de l'Assemblée Nationale), j'invite les cadres et les militants UMP qui se trouvent en territoire libre ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries politiques qui se trouvent en territoire libre ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française gaulliste ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.

Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la Radio de Périgueux.

(Qu'il soit ici rendu hommage au courage de ce député, Daniel Garrigue, qui quitte l'UMP).