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14/01/2008

Élection du Conseil national : le vote des Parisiens jeudi.

Cette fois, c'est (enfin !) confirmé.
 
Voici le mail que je viens de recevoir :
 

"Chère amie, cher ami,

En ce début d’année, je tiens tout d’abord à vous renouveler tous mes vœux pour vous et les vôtres.

Comme vous le savez, nos statuts prévoient l'élection des membres du Conseil national par les adhérents. Nous allons élire nos 33 représentants de la région Ile-de-France au nouveau Conseil national du Mouvement Démocrate. Cette première élection interne montre tout l’intérêt que portent les adhérents pour le fonctionnement de notre mouvement, puisque ce ne sont pas moins de 700 candidats qui se présenteront à vos suffrages.

Afin de parfaire votre information et de vous permettre de faire votre choix en toute clarté, je vous invite à consulter le site http://www.mouvementdemocrate.fr/. J’ai également souhaité vous adresser par courrier l’ensemble des professions de foi disponibles et les bulletins de vote des 14 listes présentes en Ile-de-France. Vous les recevrez d'ici quelques jours.

Le vote aura lieu le jeudi 17 janvier prochain, de 14 heures à 22 heures au siège du Mouvement Démocrate, 133 bis, rue de l’Université, Paris 7ème, Métro : Invalides.

Conformément aux décisions prises par la commission nationale d’organisation, une procuration par personne est possible. Le vote par correspondance n'est en revanche pas prévu.

Je souhaite naturellement que vous participiez nombreux à ce vote, très important pour la représentation du Mouvement Départemental de Paris au sein du Conseil national."

Le vote est dans trois jours. Il était temps. Voilà bien les pratiques à améliorer pour faire du MoDem le premier mouvement du XXIe siècle, car "les adhérents sont notre force".

 

Liste de Quitterie Delmas : ce soir à Clamart.

Café démocrate à Clamart (92) à partir de 20H00.

Bar-restaurant "La Fourche", 202 avenue Jean Jaurès, Clamart, Gare Transilien-SNCF Clamart.

13/01/2008

Quitterie Delmas à Ivry : vive le débat.

À l'invitation de Fabien Engelibert, qui espère être tête de liste à Ivry-sur-Seine, Quitterie Delmas et les Citoyens démocrates sont venus apporter leur soutien au MoDem d'Ivry et débattre avec les Jeunes actifs franciliens qui mènent une autre liste pour l'élection du Conseil national.
 
Contrairement à Bagneux, Ivry est une commune limitrophe de Paris, depuis longtemps desservie par le métro. Notre tournée de rouge se poursuivait cependant, car il s'agissait encore d'une ville dirigée par les communistes. À vrai dire, je n'en ai vu que la place de la République (quel beau nom), ce qui fait tout de même peu pour juger.
 
Le débat, devant une cinquantaine d'adhérents, eut lieu au café Marat. On peut dire que tout a baigné et qu'il n'y a pas eu de coup de poignard en direct, même si c'est avec la plus grande surprise qu'on a appris incidemment que le vote des Parisiens aurait lieu jeudi de 14 heures à 22 heures.
 
OUI, OHÉ, LES PARISIENS !! LE VOTE ... JE DIS QUE LE VOTE AURA LIEU À PARIS, RUE DE L'UNIVERSITÉ, DE 14 À 22 HEURES JEUDI ! Enfin, ce n'est pas sûr.
 
Une demi-douzaine de Jeunes actifs franciliens, deux élues qui passent la main, plusieurs actuels candidats, l'assemblée était diverse. On y trouvait des UDF historiques, des nouveaux adhérents, bref, un bon mélange.
 
Sur le fond, les deux listes ont des points communs indéniables : d'abord, les JAF se sont donné la peine de composer une liste en piochant dans les différents départements de la région. Ensuite, ils veulent axer leur propre engagement sur la formation. Enfin, ils veulent être des adhérents actifs. Ce sont des points communs.
 
En revanche, leur insistance à se cantonner dans un réalisme un peu statique les fait un peu passer à côté de ce qui fait le succès et l'intérêt de Bayrou : la volonté d'innover et de modifier en profondeur les comportements politiques.
 
Le débat proprement dit a porté surtout sur la conception que l'on peut se faire de la transparence et sur l'utilité d'une ségrégation de jeunes dans le MoDem.
 
Quitterie Delmas a énoncé avec talent l'idée d'une transparence active, d'une ouverture des fenêtres du Modem, de procédures claires, de démocratie.
 
Elle a contesté le principe d'existence d'un mouvement de jeunes en tant que tel, car elle lui aurait préféré des cercles d'action, des réseaux qui, séparément ou ensemble, auraient incarné une façon jeune d'être MoDem, sans s'enfermer dans une classe d'âge.
 
Christelle Carcone, qui mène la liste des JAF, a contesté que sa liste ne soit que jeune, notant que sa tranche d'âge va jusqu'à 38 ans, mais elle a ensuite reconnu qu'il s'agissait pour la plupart de récents responsables du mouvement de jeunes.
 
Elle s'est ensuite plainte de l'attitude des responsables provisoires du MoDem du Val-de-Marne qui, après l'avoir assurée de leur soutien, ont composé une liste "val-de-marnaise" et il a paru qu'une certaine analyse sur les comportements de la structure actuelle du MoDem pouvait nous être commune. Si les circonstances l'avaient permis, une liste commune aussi aurait été plausible. Il y aura certainement d'autres occasions de travailler ensemble.
 
Puis nous voici dans notre métro, faisant un point rapide sur le futur proche.
 
Maintenant, tout ce qui compte pour moi, c'est le succès de Quitterie.
 
Dernière minute : selon MoDem 4.0, l'élection du Conseil National aurait lieu à Paris non pas le 17 mais chaque jour du 17 au 19. Voilà de quoi garantir une forte participation. Oui.
 
Eh bien, je vais vous dire : moi, je sais quand le vote aura lieu. Mais je rapporte ce que dit l'une, ce que lance l'autre, car je trouve inadmissible qu'à trois ou quatre jours de l'ouverture officielle de la période de vote, les instances compétentes n'aient rien publié sur ce sujet

Tous à Ivry à 18 heures !

Une élection a besoin de débats. Rappelons-nous comme nous avons été frustrés de l'élection présidentielle où tout débat pluraliste fut impossible. Or pour la première fois dans la courte campagne pour l'élection du Conseil National, voici que deux représentants d'autres listes ont accepté de participer à une réunion organisée par l'équipe "Les adhérents sont notre force". Venez.
 
Que vous soyez grand ou petit, grognon ou rigolard, chauve ou hirsute (ou les deux à la fois), poète ou cynique, venez, venez nombreux, c'est une occasion d'entendre des points de vue complémentaires, de mesurer que quoiqu'il arrive, nous sommes tous membres du même Mouvement Démocrate, attachés aux mêmes valeurs, engagés dans le même effort, avec la même volonté de démocratiser la France, avec le même choix d'ouvrir en grand les fenêtres du MoDem.
 
Venez vous connecter.
 

Au Café "Le Marat", 2 place de la République, Ivry-sur-Seine, M° Mairie d'Ivry.
 

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Les adhérents sont notre force : principe d'exemplarité.

7. Exemplarité

Les dernières années politiques ont été marquées par beaucoup de promesses, peu ont été tenues.

Le Mouvement Démocrate est né de cette mission de vérité que nous nous fixons, notamment en clarifiant l’information et en en faisant un réel droit au citoyen.
Combien, aujourd’hui encore, d’indicateurs de suivi, taux et budgets nous paraissent flous et sans aucun fondements ?
En interne, nous nous devons déjà d’être exemplaires, et pour cela, nous engageons à :
  • Respecter nos projets de campagne
    • En maintenant à jour la liste des actions, en les qualifiant, en les suivant et, le cas échéant, en expliquant les modifications qui pourraient avoir été apportées suite à un changement de contexte ou d’environnement ;
    • En alimentant un rapport d’exercice détaillé sur leurs mises en œuvre.
  • Fournir une information claire aux adhérents
    • En demandant une présentation annuelle du budget du Mouvement Démocrate et en contrôlant le Bureau Executif sur son suivi ;
    • En justifiant de nos projets, par des points d’information à minimum trimestriel.
Cette exemplarité n’est pas qu’une affaire de comportement individuel, elle vient aussi de notre charte éthique, et nous serons vigilants et les relais permanents des adhérents qui pourraient constater des pratiques en dehors de cette charte.

Débat avec des représentants de trois listes à Ivry à 18 heures.

Café Démocrate dimanche 13 janvier à 18H00 au Marat à Ivry-sur-Seine

Retrouvez les candidats de la liste "Les adhérents sont notre force !", pour l'élection au Conseil national.

Dimanche 13 Janvier 2008, à partir de 18H00

au Café "Le Marat", 2 place de la République, Ivry-sur-Seine, M° Mairie d'Ivry.

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Fabien Engelibert, tête de liste à Ivry-sur-Seine et Quitterie Delmas animeront cette rencontre et seront entourés des candidats de la liste « Les adhérents sont notre force », mais également de Christelle Carcone de la liste « Les Jeunes Actifs Franciliens » ainsi que Claire O’Petit de la liste « Ile-de-France en Mouvement » 
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12/01/2008

Les adhérents sont notre force : nouvelle vidéo.

 

 

Je signale par ailleurs les deux longues notes par lesquelles Quitterie vient de rendre compte des réunions d'hier et d'avant-hier. On trouve aussi une note sur le blog de la liste. 

Liste de Quitterie Delmas : pour changer les choses.

Beaucoup d'adhérents et de militants se plaignent de la brièveté de la campagne pour l'élection du Conseil National du MoDem. ils ont raison. Cette campagne est courte, elle aurait dû s'étaler sur une longue durée.
 
Et cependant, qu'aurions-nous dit si elle avait continué pendant les municipales et les cantonales ? Comment aurions-nous géré les deux ? Pas pensable.
 
Pire encore : il va falloir prendre des décisions politiques pour le second tour des municipales : accords-fusions ? désistements ? maintiens ? retraits purs et simples ?
 
Qu'aurions-nous dit si François Bayrou avait tout décidé seul avec son équipe provisoire ?
 
Bien sûr, cela n'aurait pas entamé la confiance que nous lui portons, mais cela aurait conforté l'idée que le Mouvement ne se décide pas à devenir Démocrate.
 
Or démocrate, il faut qu'il le soit. Et si les processus ne sont pas encore démocratiques, battons-nous pour qu'ils le soient de plus en plus.
 
La démocratie n'est jamais un dû. Elle n'est jamais donnée. Elle se construit pas à pas, elle se modèle. Par le débat, par le dialogue, par l'effort, par des rencontres, par des soirées fiévreuses où, dans la chaleur et dans la rêverie commune, on refait le monde.
 
La démocratie, ce ne sera pas seulement les réunions du Conseil National, ce sera aussi les cafés politiques où Bayrou, devant 200 personnes (c'est un format qu'il aime bien), échangera des idées librement, écoutera, expliquera, se nourrira, et rentrera chargé de décisions à prendre et d'instructions à donner aux salariés du Mouvement, et de messages à délivrer au pays.
 
Ce seront aussi des adhérents qui, bénévolement, aux quatre coins du pays, par Internet, assumeront certaines tâches que les salariés trop peu nombreux ne peuvent plus faire.
 
Ce sera une lutte contre les résistances internes au changement, une poussée contre les vieux réflexes de confiscation des flux d'info et de pouvoir. Certains comportements internes récents ne sont plus tolérables. Il n'est nullement question de fustiger les gens, mais de le leur expliquer, pour qu'ils le comprennent : le message de Bayrou, c'est "ouvrez grand les fenêtres, ne faites plus de conserve avec ce qui n'en vaut pas la peine, plus les messages courent, plus ils sont forts. Ce n'est pas en enfermant la vérité, en la cadenassant, qu'on la fait triompher".
 
Voilà, je crois, des éléments que les citoyens démocrates de la liste "Les adhérents sont notre force" conduite par Quitterie Delmas peuvent ajouter à leur plateforme au vu de ce que la campagne a révélé.
 
Je prends l'engagement, comme candidat, de veiller à ce qu'une procédure d'élection du Conseil National comme celle que nous vivons ne se reproduise plus, qu'il y ait désormais le temps du débat, le temps d'une vraie campagne interne, que des réunions d'information sur les candidatures soient organisées par les instances statutaires comme elles auraient dû l'être par les instances provisoires, que les choses se fassent au grand jour et dans le but de traduire dans nos propres actes les projets que François Bayrou a défendus pendant la campagne présidentielle.
 
Dernière aberration en date : on avait annoncé la publication des listes oficielles le 11 janvier avant minuit : il n'y a rien eu.
 
Tout ceci n'est pas satisfaisant, mais il ne s'agit pas d'accuser : ce que je veux, ce que chacun d'entre nous veut, c'est que désormais, ça marche.
 
Voilà tout. 
 
Et voilà pourquoi je suis candidat avec Quitterie Delmas.
 
"Embauché malgré moi dans l'usine à idées,
J'ai refusé de pointer.
Mobilisé de même dans l'armée des idées,
J'ai déserté.
Je n'ai jamais compris grand chose,
Il n'y a jamais grand chose
Ni petite chose,
Il y a autre chose.
Autre chose, c'est ce que j'aime,
Qui me plaît
Et que je fais."
 
Jacques Prévert 

Liste de Quitterie Delmas : témoignages de colistiers.

Pierre Creuzet :
 
 
 

Rassemblement
envoyé par ben3002
 
Marie-Isabelle Pichon :
 
 
 
 
Christian Delom :
 
 
 
 
Benjamin Sauzay : 
 
 

Les adhérents sont notre force demain à Ivry-sur-Seine.

Rencontre à Ivry-sur-Seine (94) à 18 heures.
Café "Le Marat", 2 place de la République, Ivry-sur-Seine, M° Mairie d'Ivry.

Les réunions de la liste de Quitterie Delmas font mincir.

Si vous souffrez d'une surcharge pondérale, une solution en or : faites comme moi, soutenez la liste "Les adhérents sont notre force" et filez de réunion de campagne en réunion de campagne.
 
Hier soir, il était tard quand la fin est venue ; plus de métro, je suis donc rentré à pied. Or comme Quitterie ne mange rien à ces réunions et comme par une étrange contagion je finis par n'y rien manger non plus, je suis arrivé nettement plus léger qu'au départ, après une bonne heure de marche au pas cadencé en égrenant les chansons de Brassens.
 
Et rebelote ce soir : on devait se retrouver à Bagneux à 20 heures.
 
Pour ceux qui ne connaissent pas Bagneux, c'est une commune du sud de l'agglomération parisienne, longeant la route nationale qui sépare les départements des Hauts-de-Seine (alias Sarkoland, où elle se trouve) et du Val-de-Marne. On est ici dans l'ancienne ceinture rouge de Paris. Elle est mitée, la ceinture. Mais hélas pour les habitants de Bagneux, ils ont encore un maire communiste.
 
En ayant examiné le plan, j'avais déterminé que la station de train régional (RER) la plus proche était celle d'Arcueil-Cachan et non celle de Bagneux. J'avais ensuite repéré mon chemin et mémorisé "deuxième à gauche, première à droite, légèrement à gauche et en face la rue des Meuniers, puis à droite et à gauche". Hélas, je me suis instantanément perdu.
 
Le quartier en sortant de la gare est typique de l'urbanisme francilien d'avant 1950 : des pavillons pelotonnés les uns sur les autres, souvent bâtis dans une pierre d'aspect volcanique, roux foncé (pain d'épices, pour être précis), avec de la brique et des toits de tuiles. D'autres maisons sont enduites en blanc cassé, elles n'ont qu'une courette, un garage ouvrant en général sur le trottoir même par une laide porte de bois, et un aspect en définitive paisible. On est étonné que les "bobos" n'aient pas encore envahi ces havres de modestie architecturale. On est étonné aussi que les grands immeubles mordent si lentement et si progressivement sur ces quartiers.
 
Et on se dit qu'il faut songer à en classer quelques-uns, de ces quartiers, avant qu'ils n'aient tous disparu sous la dent des bulldozers bling-bling. BoBo contre Bling-bling, ça aurait de la gueule.
 
Plus loin, on découvre avec effroi l'urbanisme brutal des années 1950 et 1960 : barres d'immeubles, parallélépipèdes sans âme qui illustrent à merveille la phrase écrite dès 1830 par Victor Hugo : "la froide ligne du géomètre a remplacé la belle ligne de l'architecte". Aucune inspiration architecturale, en effet, dans ces édifices plats.
 
Au passage, je me dis que si l'on voulait relancer la créativité architecturale en France, on aurait là un champ tout trouvé, il suffirait de faire un peu de place en éliminant certains de ces grands immeubles. Mais je ne trouve rien, aucune rue dont le nom résonne à a mémoire.
 
Perdu, éperdu, je rebrousse chemin et, au milieu de nulle part, je lance un long SOS sur le répondeur de Quitterie. Mais la soirée électorale est commencée et, logiquement, Quitterie n'a pas son téléphone à l'oreille. En définitive, c'est un couple de Portugais sorti de l'un des pavillons qui enfin a pitié de moi et me remet sur les rails.
 
Je finis donc par atteindre la rue Gabriel Cosson (qui est-ce ?), longe le stade éclairé où des footballeurs se réchauffent en galopant après le ballon, puis j'aperçois une sorte d'Algéco, d'aspect très brut, totalement éteint, vers lequel mène une ligne d'affiches de notre candidate, Mme Darves-Bornoz, semées comme des petits caillous blancs et là, enfin, j'arrive à bon port.
 
Au moment où j'entre, il est question du métro qui doit atteindre Bagneux d'ici cinq ans. "Bonne idée", me dis-je en songeant qu'il m'a fallu deux lignes de RER et une longue randonnée pour parvenir jusque-là. Hélas, un habitant se lève et annonce qu'il vit là depuis 1975 et que, depuis 1975, "c'est pour dans cinq ans". En vérité, comme le démontre très bien Marie Darves-Bornoz, il ne faut pas y compter avant 2018 ou 2020. Tant pis, mais je ne suis pas certain de revenir à la prochaine invitation.
 
Autant dire tout de suite que notre candidate a une qualité rare, qui fait d'ailleurs défaut à des femmes bien plus puissantes qu'elle dans notre Modem : l'autorité naturelle.
 
On peut, si l'on n'en a pas, acquérir de l'autorité par beaucoup de travail sur soi. On peut même ainsi acquérir de l'autorité respectable et respectée. Mais rien ne permet de se doter de l'autorité naturelle : elle vient ou elle ne vient pas. Chez Mme Darves-Bornoz, elle est venue, secondée utilement par un timbre de voix très clair de mezzo-soprane et une élocution digne de la Comédie française.
 
L'autorité naturelle se caractérise par l'impression de solidité qu'elle donne. Mme Darves-Bornoz ferait un bon maire (une bonne maire). Les gens auraient envie de se fier à elle. Elle semble très au fait des dossiers particuliers de sa ville et du cadre général de la gestion municipale.
 
Peu de nos colistiers ont fait le déplacement, mais au fond c'est mieux, car la salle est bien pleine d'habitants de la ville venus écouter leur éventuelle future maire et ses soutiens. On trouve dans cette assemblée de plusieurs dizaines de Bagnéolais (je crois que c'est le mot que j'ai entendu), des gens d'un peu toutes les tailles, d'un peu tous les âges, d'un peu toutes les couleurs.
 
Il y a même un faux ami, un de ces barons des autres listes qui vient, la bouche en coeur, vous enduire de miel pour ensuite vous rouler mieux dans la farine et vous passer à la friteuse. Il s'agit ici d'un homme âgé, qui dit vivre à Bagneux depuis un demi-siècle (il dit une fois 55 ans, l'autre 45, donc la moyenne est à 50), et qui, après avoir beaucoup vanté la liste de rassemblement soutenue par le MoDem, glisse subrepticement vers un autres sujet : comme tout est bien, au Plessis-Robinson (commune voisine), comme tout y est mieux. Ah, évidemment, le maire est un ancien habitant de Bagneux qui, ayant perdu l'espoir d'enlever sa ville aux communistes, a fini par se présenter là-bas, prendre la mairie et alors, il faut voir comme tout est plus beau, au Plessis-Robinson... Comme les immeubles sont beaux... Comme les rues sont belles... Il prononce le nom de l'élu :Pemzec.
 
Je sursaute : Pemzec est le député qui vient d'être invalidé dans des conditions très sarkolandaises. Mme Darves-Bornoz ne paraît pas avoir noté le glissement sémantique qui vient de passer de la dénonciation des méfaits de la gestion communiste à l'apologie du système UMP local. Heureusement, un autre élu MoDem de la communauté d'agglomération a rejoint la réunion et bondit, lui, ou plutôt rebondit, pour signaler qu'ils ont, dans les Hauts-de-Seine, une droite très dure, et qu'il vaut mieux voter pour le centre (Bayrou a dû se retourner non pas dans sa tombe mais dans sa permanence de campagne, lui qui se bat pour effacer le mot centre de la panoplie MoDem), car c'est le centre et le centre seulement qui s'occupe vraiment des problèmes de gens, car enfin, on peut dire ce qu'on veut, poursuit-il, les trottoirs ne sont pas de droite ou de gauche (l'exemple est mal choisi, car il n'y a justement pas de trottoir central mais en général un trottoir de droite et un trottoir de gauche, justement, mais tant pis, la démonstration est valide quand même), il n'y a pas de bonne gestion municipale de droite ou de gauche, il n'y a qu'une gestion au service des gens, c'est le message de François Bayrou, précise-t-il, pour ces municipales. Et la salle approuve.
 
Il faut dire que Mme Darves-Bornoz a certes de l'autorité naturelle, mais que cet homme (dont je n'ai pas entendu le nom) a du coffre et, on le voit bien, de l'expérience.
 
Et le débat continue pour souligner toutes les failles de l'administration communiste de la ville, tout ce choix de médiocrité et de malheur qui fait que le chômage est plus élevé à Bagneux qu'autour, que les commerces y végètent, que les gens ne s'y épanouissent pas assez.
 
Et ainsi, on égrène les raisons de voter MoDem. Et enfin, c'est fini, on applaudit, c'est bien mérité.
 
J'ai salué Marie-Laure Tréton, très en verve, Domitille Marbeau (la "jeune séniore" qui s'exprime sur la vidéo du café démocrate d'hier), Michel Hinard, infatigable promoteur de la liste, Fabien Neveu, autre inusable, et j'en oublie quelques-uns, Quitterie aussi bien sûr et avant tous les autres.
 
Puis, sur la pointe des pieds, un peu méfiant de la grève qui espace singulièrement les trains de la ligne C du RER (et dont personne ne parle quoiqu'elle soit devenue récurrente...), j'ai repris le chemin de chez moi.
 
J'ai encore perdu un kilo.

11/01/2008

Quitterie Delmas face à la caméra.

Nouvelle vidéo de Quitterie Delmas pour la liste Les adhérents sont notre force enregistrée hier :
 
 

Café démocrate de Quitterie Delmas : les images d'hier.

Liste de Quitterie Delmas : ce soir à Bagneux.

Ce soir, Quitterie Delmas et nos colistiers allons soutenir la candidate du MoDem aux municipales de Bagneux, Marie Darves-Bornoz qui figure en 9e position sur notre liste. La réunion est :
 
Meeting de campagne à Bagneux (92) à partir de 20H00. 
Salle Cosson, rue Gabriel Cosson, Bagneux, RER Arcueil-Cachan ou Bagneux.

Café Démocrate de Quitterie Delmas : les adhérents sont ... ouaouh !

J'expliquais voici quelques jours que j'étais un peu ému chaque fois que je longeais le Sacré-Coeur, parce qu'il s'y trouve une grande fresque d'un de mes ancêtres peintre. Eh bien, près de l'église Saint-Eustache, aux Halles, au milieu de Paris, c'est à peu près la même chose, voire un peu plus encore.
 
Quand j'étais enfant, mes grands-parents paternels habitaient le Midi, Grasse après des décennies à Toulon. Et lorsque ma grand-mère venait à Paris, elle ne manquait jamais une occasion de me mener voir sa messe à Saint-Eustache, loin de nos bases (elle séjournait tout à l'ouest de Paris alors que Saint-Eustache, comme je viens de l'écrire, se trouve au beau milieu de la capitale).
 
On s'installait toujours à peu près au même endroit. En ce début des années 1970, Saint-Eustache était envahi de l'odeur âcre de l'encens et une chorale latine animait la messe dominicale. Tout cela devait sembler assez antéconciliaire à un adulte, mais je n'étais guère familier des liturgies parisiennes de toutes façons et cela me passait au-dessus de la tête.
 
Chaque année, le rituel était le même.
 
Quand je suis devenu plus grand et mieux informé, j'ai supposé que c'était en raison des particularités liturgiques que je viens de décrire. Mais non, ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai découvert la vérité : il y a, à Saint-Eustache, à peu près en face de l'endroit où nous nous asseyions, un vitrail exécuté d'après des dessins du même ancêtre peintre qu'au Sacré-Coeur. Ma grand-mère, sans me le dire, me faisait faire un pèlerinage familial.
 
C'était d'autant plus méritoire de sa part que le peintre en question était le grand-père de son mari (donc le grand-père de mon grand-père, pour ceux qui ne suivent pas). Méritoire, parce qu'elle-même était la petite-fille d'un autre peintre, élève d'Ingres, et qu'elle aurait tout aussi bien pu me mener à Saint-Sulpice entendre la messe en face d'une fresque de son grand-père. Il y avait donc une très grande délicatesse dans l'ensemble et j'y pense chaque fois que je longe Saint-Eustache.
 
Or le café démocrate, ce soir, avait lieu tout près de Saint-Eustache, dans un café bien connu de la blogosphère parisienne, le "Pavillon Baltard", qui doit son nom à l'architecte des anciennes halles de Paris, Baltard. Lorsqu'on commit la grande erreur de détruire ce monument d'acier, les halles, on en sauva un pavillon, qui prit le nom de "pavillon Baltard" et qu'on exila loin de ses racines, quelque part dans une banlieue accueillante, à Nogent.
 
C'est donc par un curieux retour des choses que la banlieue s'est pressée en masse, ce soir, au "Pavillon Baltard", celui de Paris, le fantôme de l'autre.
 
Les candidats de la liste "Les adhérents sont notre force", conduite par Quitterie Delmas, s'étaient déplacés en nombre les premiers. Comme à Bobigny, on trouvait Pierre Creuzet, l'élan, Nadia Falfoul, la gravité (se plaignant des pressions qu'elle subit désormais mais auxquelles elle fait face avec détermination), Christian Delom, l'exigence, Ali Menzel, l'énergie, mais cette fois-ci de très nombreux autres colistiers s'exprimèrent, même moi (deux fois, la deuxième parce que j'avais oublié de dire que je soutenais Quitterie Delmas en particulier, ce qui était pourtant le plus important), en telle quantité qu'il m'est difficile de citer tout le monde.
 
Karima Bouache, se joignant à Nadia, a mentionné les pressions subies et a repris certaines des idées qu'elle avait développées à Bobigny, Jérôme Charré, blogueur vedette du 9-3, a exprimé son "amitié" pour Quitterie qui a apprécié, Hugues de Poncins, venu des Yvelines, a évoqué le souvenir d'une des toutes premières réunions de Quitterie parmi les jeunes de l'UDF (donc vers 2003 j'imagine), MIP a parlé d'un ton enjoué, ainsi qu'Hélène de Vecchy, autre colistière adhérente du XIVe arrondissement où Marielle de Sarnez est candidate. Le directeur de campagne local de Marielle figure aussi sur la liste de Quitterie. François Vitse, candidat à Alfortville, a dit trois ou quatre mots sensés. Fabien Engelibert, candidat à Ivry, peu habitué aux micros, a tenté de dompter le sien et y est parvenu. Et d'autres, beaucoup d'autres, avec cette simplicité et cette chaleur que l'on sent chez la plupart des adhérents du MoDem, sont venus et ont dit des choses importantes.
 
J'ai été happé par une journaliste qui réalisait un reportage et qui voulait m'interroger sur Quitterie, si bien que je n'ai pas entendu Christophe Bertin témoigner de la mutation des UDF historiques en modémistes précurseurs, ce qu'il a dû faire parfaitement.
 
J'en oublie. Ils me pardonneront.
 
Et on a même donné la parole à Frantz Vasseur, qui a pu témoigner pour une autre liste, "Île de France en mouvement".
 
Quitterie, très en forme, a prononcé trois ou quatre longues allocutions, chacune sur un aspect de ce qui lui tenait à coeur. J'étais assis juste devant elle, admirablement placé pour mesurer son intelligence et le cheminement de ses raisonnements. Comment se fait-il qu'une telle jeune femme n'ait pas encore plié des Himalya jusqu'à elle ? Elle le fera. Les montagnes viendront à elle. c'est d'ailleurs ce que j'ai dit à la journaliste : "C'est une meneuse, elle fera de grandes choses".
 
Puis la séance a été levée. Et on a bu. Quelques-uns ont dîné. J'ai raconté mes histoires d'ancien combattant de la politique à des gens pour qui la campagne de Barre en 1988 est la préhistoire alors que pour moi, c'était déjà ma sixième ou septième année de militantisme et j'étais en 1986 et 1987 délégué général national des jeunes du CDS à la pointe de cette campagne.
 
Bref, la routine.
 
J'ai aussi témoigné de ce que je sais être la vérité de l'homme François Bayrou : celui qui veut faire travailler ensemble des gens qui ont envie de s'opposer. L'antithèse absolue de Sarkozy dont le plaisir serait plutôt de faire s'opposer des gens qui ont envie de travailler ensemble.
 
Mon témoignage, de ce point de vue, n'est pas contestable : il date de 1986, une époque où Bayrou était très loin d'une stratégie de présidentiable. Il venait d'être élu (en mars, le 16 mars pour être précis) député. Il avait 35 ans et, selon la règle du mouvement de jeunes d'alors, il conservait la qualité de "JDS", jeune du CDS. Or au congrès du mouvement, qui avait lieu à Metz, il fallait désigner une nouvelle équipe de direction des jeunes en question. Deux listes se préparaient à rencontrer leurs électeurs, l'une conduite par Éric Azière, qui s'occupe aujourd'hui des investitures pour Bayrou, l'autre par Jean-Luc Forget, aujourd'hui tête de liste du MoDem à Toulouse. Et Bayrou, un instant avant l'ouverture du congrès officiel, est venu nous voir : il savait qu'on allait gagner largement et il voulait qu'au lieu d'entrer en conflit, nous fusionnassions nos deux listes en une seule. Plus fort que lui. Sa conviction la plus chevillée au corps : renoncer aux oppositions quand elles n'ont qu'un sens superficiel. Un message de vie.

10/01/2008

Les adhérents sont notre force : c'est à 20 heures !

La démocratie interne est le message le plus précieux que le MoDem puisse adresser aux électeurs pour être ISO, selon l'expression de Quitterie Delmas. Exemplaires, nous prouverons ce que nous disons et cela vaut toutes les campagnes électorales externes. C'est pourquoi je crois essentiel d'être nombreux ce soir pour le café démocrate au café Le Pavillon Baltard, 9, rue Coquillère, à Paris Ier. À 20 heures.

Liste de Quitterie Delmas : ma propre vidéo.

C'est la période des voeux. Je profite de cette vidéo de soutien à la liste Les adhérents sont notre force pour présenter les miens à mes lectrices et lecteurs. Et rendez-vous ce soir au Pavillon Baltard, rue Coquillère dans le premier arrondissement de Paris, pour un café démocrate exceptionnel.
 
 

09/01/2008

Bayrou, Michelet, la France éternelle ... et Quitterie.

Ah, Michelet. La France éternelle. Cela me fait penser aux taxis de la Marne en 1914, à cette improbable victoire remportée par l'improvisation des officiers de la Coloniale sur l'extraordinaire machine de guerre d'une Allemagne deux fois plus peuplée alors que la France, mieux équipée et opérant une manoeuvre d'une audace tactique si prodigieuse qu'elle faillit réussir.
 
Cette victoire défensive parut si providentielle qu'elle ancra les Français dans l'idée que Michelet avait raison, que la France était éternelle et qu'il y aurait toujours un sauveur.
 
Peu importe que l'on se soit depuis rendu compte qu'il y avait une raison objective de cette victoire : la moitié des véhicules automobiles circulant alors dans le monde roulaient dans la rayonnante capitable planétaire qu'était alors Paris, une ville où se côtoyait la plus effroyable misère à Montmartre (les scènes initiales du film sur Piaf sorti l'an dernier le rappellent avec crudité) et la plus extravagante opulence. Les taxis, tous les taxis, étaient à Paris.
 
Peu importe : la foi aveugle dans le sauveur de la France, le bras providentiel, était telle, que la défaite de 1940 parut comme une trahison du Ciel. L'invraisemblable s'était produit.
 
Invraisemblable en effet : en 1940, la tactique géniale des Allemands était ... la même qu'en 1914. Les mêmes pentes abruptes, le même étroit passage, la même audace. Mais en 1940, Paris rêvasse, les Français ont fait un crosse-en-l'air général. Car c'est cela, la ligne Maginot : un crosse-en-l'air général. Vos guerres, faites-les où vous voulez, nous on ne veut pas le savoir. On y participera de loin, sous terre, comme ça les bombes ne pourront pas nous atteindre. On ne veut pas comme en 1914 courir nus sous la mitraille, pas question d'envoyer nos enfants se faire découper en rondelles. Et dans ce crosse-en-l'air général, aucune place pour l'imagination, aucune place pour la mobilisation de la profondeur du peuple. Trop tard. On nous l'a déjà faite. S'il doit y avoir une guerre mondiale, eh bien, que les autres la fassent à notre place : on a déjà donné. Donc pas de sursaut, pas de victoire miraculeuse sur la Marne.
 
La fuite, les ministères qui, comme le Quai d'Orsay, brûlent leurs archives les plus sensibles, comme ça, dans la panique, dans le jardin, le repli-réflexe vers Bordeaux, l'exode, la capitulation dont Jean-François Kahn affirme dans son dernier livre qu'elle est préparée de longue date par les comploteurs Laval et Pétain, Pétain dévoilé traître et capitulard récidiviste, le déshonneur, le gouffre.
 
Et donc, effondrement. Effondrement millénaire. Bien pire qu'en 1815, lorsque les soldats prussiens et autrichiens découvrirent le raffinement parisien, la ville qui durant vingt-cinq ans avait défié l'Europe et dont les troupes avaient emporté toutes les batailles, toutes ... sauf les dernières (ultima necat). Bien pire qu'en 1870, lorsque les soldats prussiens contournèrent Paris et Victor Hugo bouillonnant de son "année terrible".
 
L'effondrement de 1940, nous ne nous en sommes toujours pas relevés.
 
Et ce pour une raison insurmontable : il a fallu oublier. En 1944 et après, le tourbillon était si fort qu'il n'a pu être question d'entreprendre l'introspection collective qui eût pourtant été nécessaire.
 
Cette étude des causes de la défaite, la Résistance intérieure l'a certes faite. À Uriage, ailleurs, dans des clubs, dans des groupes, dans des pages clandestines, dans le Comité National de la Résistance (CNR), là on a réfléchi. Et de cette réflexion sont nées les plus grandes réformes que la France aient connues depuis la Révolution française : la presse organisée en structure associative et interdite de propriété industrielle liée aux commandes publiques et militaires, les organismes sociaux, et j'en passe.
 
On a donc produit le résultat de la réflexion, mais cette dernière s'était faite, par définition, dans la clandestinité, sans la lumière du débat public. Les principes nouveaux ont donc ont été approuvés, mais la démarche quasi-psychanalytique, elle, est restée dans les limbes. Il aurait fallu libérer les esprits, on n'a libéré que les corps. Les réformes ont été approuvées en bloc, comme un tout, sans l'examen intime qu'il aurait fallu.
 
Pourquoi ? Parce que de Gaulle a cru nécessaire de grandir son pays en se posant en successeur des précédents sauveurs de la France. Il a cru indispensable de donner à penser que la France n'était pas tombée, que la vraie France, dès juin 1940, se trouvait à Londres, que donc le fil n'était pas coupé, que Michelet n'avait pas menti, qu'il n'y avait pas de trahison du Ciel et qu'en fin de compte, la France était éternelle. Il a cru que par cet artifice, selon la méthode Coué, la France reprendait comme avant.
 
D'un côté, le CNR et ses réformes dont les amis de de Gaulle prirent toute leur part. De l'autre, cette nécessité de faire comme s'il ne s'était rien passé.
 
Et c'est donc maintenant qu'il faut le faire, ce travail. Et puisque les principes du CNR sont combattus par le pouvoir actuel au nom d'une rupture que l'on découvre pervertie par le pétainisme, ces principes de 1944, c'est maintenant qu'il faut les représenter au peuple. Et l'introspection collective, la réflexion ensemble, c'est maintenant qu'il faut les faire.
 
Voilà pourquoi j'approuve entièrement les formules employées aujourd'hui par François Bayrou qui, au cours de ses voeux, a plusieurs fois évoqué la "France éternelle", chère à Michelet et à de Gaulle.
 
Et voilà pourquoi je suis particulièrement fier et heureux que Quitterie Delmas ait été présente avec notre colistière Nadia Falfoul à ces voeux qui je crois auront une portée historique.
 
(Merci à Okan pour son titre et sa photo).
 
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François Bayrou stigmatise la dérive monarchique et prendra ses responsabilités à Lyon.

Pas le temps d'en écrire plus. Bayrou combattif en présentant ses voeux.

11:55 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : politique, MoDem, Bayrou, Lyon | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Les adhérents sont notre force : le calendrier.

Les candidats de la liste conduite par Quitterie Delmas seront : 

Vendredi 11 Janvier 2008 :

Meeting de campagne à Bagneux (92) à partir de 20H00. 
Salle Cosson, rue Gabriel Cosson, Bagneux, RER Arcueil-Cachan ou Bagneux.

Dimanche 13 Janvier 2008 : 

Rencontre à Ivry-sur-Seine (94) dans l'après-midi.
Café "Le Marat", 2 place de la République, Ivry-sur-Seine, M° Mairie d'Ivry.

Lundi 14 Janvier 2008 : 

Café démocrate à Clamart (92) à partir de 20H00.
Bar-restaurant "La Fourche", 202 avenue Jean Jaurès, Clamart, Gare Transilien-SNCF Clamart.

Mardi 15 Janvier 2008 : 

Café Démocrate à Nanterre (92) à partir de 20H00.
Pub Mustang, 39 avenue Lénine, Nanterre, RER Nanterre-Ville.

Mercredi 16 Janvier 2008 :

Nous vous invitons à venir nous rejoindre pour un pot de fin de campagne à Paris. 
Café "O'Jules", 2 rue Bobillot, Paris 13ème, M° Place d'Italie.

(Merci MIP pour la mise en page).