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31/03/2008

Jules Dassin est mort.

Oui, je sais, c'est Joe Dassin, mais tel fils, tel père, et en 1980, je n'avais pas de blog... spéciale dédicace à une jeune femme aux yeux verts...
 

23:24 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : cinéma, joe dassin | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Une institutrice se suicide.

Rien. Non, rien. Je n'ai rien à dire. Juste, que je trouve ça épouvantable.

23:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Éducation, suicide | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Qui vote pour que JF Kahn écrive les discours de Bayrou ?

Parmi les nombreuses idées baroques qui traversent mon esprit en une journée, il y en a une qui m'a intéressé plus que d'autres, parce qu'elle recouvre l'une des questions que se posent ceux qui, comme moi, suivent la démarche de François Bayrou depuis longtemps : qui est venu au MoDem parce que Jean-François Kahn disait du bien de Bêrou (c'est comme ça qu'il prononce) ?
 
Ce n'est pas une question aussi futile qu'il y paraît : Jean-François Kahn est celui qui a théorisé, en amont de la campagne présidentielle, le principe de l'"extrême centre" et comme le MoDem va devoir inévitablement se pencher sur les rapports entre son projet politique et la notion de centre, il me semble indispensable que ceux qui sont venus pour Kahn et qui sont parmi les plus farouches anti-sarkozystes s'expriment sur le sujet du centre. 

Le phénomène Quitterie Delmas sur CoZop.


Après que Farid Taha eut posté sur e-soutiens un article reprenant une de mes notes retirées de mon blog mais restant sur CoZop, j'ai fait une note signalant ce débat sur e-soutiens et donnant le lien avec la page CoZop. Et voilà, le phénomène Quitterie Delmas a encore frappé : alors qu'en cinq semaines de présence sur CoZop j'y avais gagné 1,03 Euro (en trente-cinq jours, donc), eh bien, en deux jours, j'ai gagné ... 0,40 Euro, la féquentation de mes pages CoZop a été multipliée par ... 7 ! Presque sept fois plus de visiteurs par jour, 700 %...
 
Merci, Quitterie ! 

12:11 | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : cozop, quitterie delmas, social reading, modem | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La stratégie des centres.

Pour noyer le poisson MoDem, la nouvelle stratégie de l'Élysée a un nom : la pluralité des centres. Il y a plein de centres : les deux partis radicaux, le Nouveau Centre, les centristes de l'UMP (grand parti centriste devant l'Éternel, comme chacun sait), et divers groupuscules.
 
Cas d'école : l'UMP d'Ille et Vilaine. Non content d'avoir tenté de faire fusionner la liste du MoDem avec celle de l'UMP dès avant le premier tour pour les municipales de Rennes (on imagine le résultat que cela aurait donné), le sénateur "MoDem" local, Philippe Nogrix, pourtant pas le pire, a imposé un groupe commun avec l'UMP, dénommé "Union du Centre" et parrainé par le centriste repenti Pierre Méhaignerie, en son temps condamné mais amnistié pour abus de biens sociaux au détriment de son parti (le mien aussi), le CDS. En vérité, le poulain de Nogrix, le député Thierry Benoît, élu sous l'étiquette MoDem mais ayant refusé de prendre ensuite sa carte, est devenu le leader de la génération montante de la droite locale depuis que le "centriste" de l'UMP, Philippe Rouault, poulain de Méhaignerie, a été battu à sa mairie et aux législatives. Rien à voir donc avec le MoDem.
 
Dans une certain mesure (et comme le note l'élu MoDem pur et dur d'Ille et Vilaine Reboux dans l'article que j'ai mis en lien), cette façon de procéder aboutit à banaliser le MoDem, à l'engluer, comme au fond l'attitude des sénateurs du groupe UC-UDF qui veulent garder le contact avec le Nouveau Centre.
 
Dans une certaine mesure aussi, les propos récents du tout nouveau maire du XVIe, Claude Goasguen, peuvent dériver vers cette stratégie élyséenne s'il ne les précise pas. Vouloir doper l'aile centriste de l'UMP pour réduire l'espace politique du MoDem est une manoeuvre logique et l'ambiguïté n'est pas permise.
 
Cependant, cette stratégie du recentrage a déjà été tentée plusieurs fois, et elle a toujours échoué, tant l'UMP reste marquée par les travers intellectuels et culturels de la droite. Comme dirait Bayrou, le renard enfile les plumes du poulet, mais il reste le renard.
 
Personnellement, j'estime que la réalité est bien plus riche et complexe que la droite ne se l'imagine.
 
Tout d'abord, il est simple et commode (y compris pour Bayrou) de parler du centre : cela nous place de plain-pied avec la droite et la gauche, à égalité. Il y a la droite, le centre, la gauche, chacun pour un tiers et tout le monde est content.
 
Mais cette vision facile a longtemps rebuté François Bayrou qui ne la jugeait pas pertinente, au motif que le centre est une notion purement géométrique. Il parlait d'ailleurs plus volontiers d'espace central que de parti centriste.
 
Dans cet espace central, c'est évident, le MoDem se taille plus que la part du lion. Non pas parce qu'il est centriste, mais parce qu'il assume les convergences des énergies divergentes. Il est la solution des contraires et la synthèse des dirimants.
 
Pour parvenir à ce résultat, il agglomère des sensibilités très diverses : humanistes d'inspiration chrétienne comme Bayrou ou laïque comme beaucoup d'autres, altermondialistes, écologistes, libertaires, autogestionnaires, gaullistes, sociaux-démocrates, et divers autres, dans un projet qu'en d'autres temps on aurait sans doute dénommé social-démocrate et qui allie la générosité, l'efficacité, le durable et l'intègre, conjugués à un enthousiasme européen marqué, à une nette aspiration à la subsidiarité, à un vrai appétit de démocratie numérique, et à une grande fraîcheur d'inspiration.
 
Tout cela, on le voit, a peu de rapport avec la tambouille centriste et permettra sans le moindre doute de déjouer le piège des centres pour occuper l'espace central sans se perdre dans le centrisme, en somme développer un authentique projet démocrate.

30/03/2008

MoDem parisien : agrandir l'horizon.

Le débat sur e-soutiens autour du texte de Farid Taha et de ma note sur CoZop n'a guère été dense. Pourtant, les visites ont été très nombreuses (surtout pour un week-end) aussi bien sur mon blog que sur la page CoZop. Mais les Parisiens, en particulier, s'y sont peu exprimés. Est-ce une crainte ? un consensus ? un abasourdissement ?
 
Les récents événements doivent nous conduire à nous interroger sur la gouvernance du MoDem parisien, sur son animation, sur son expression, sur son adéquation aux affaires du moment.
 
J'ai fait dans le texte qui reste sur CoZop un diagnostic assez cru, qui me semble avoir été largement approuvé : depuis des mois, et ce bien avant la campagne présidentielle, nous n'existions plus comme collectif. Or une fédération (un mouvement départemental), c'est avant tout un collectif. C'est une volonté commune vécue en commun. Il ne suffit pas qu'on se réunisse pour quatre salves d'applaudissements à l'entrée d'une campagne municipale. S'il y a eu si peu de participation pour l'élection du conseil national, si la salle a été si peu pleine au gymnase Japy pour l'ouverture de la campagne, c'est que depuis des mois, les adhérents n'avaient été ni consultés ni sollicités, ni simplement réunis. On n'a fait que des conciliabules au siège du MoDem dans un flou extrême et dans une atmosphère sulfureuse, puisque chacun, en vue des municipales, s'y regardait en chien de faïence.
 
L'ambiance courtisane qui a régné pendant cette période doit prendre fin.
 
Il faut ouvrir en grand les fenêtres du MoDem.
 
Il faut aller à la rencontre des adhérents sur le terrain et non les convier à de sempiternels bavardages confinés dans la salle Jean Lecanuet. Il faut aller, comme Quitterie Delmas l'a fait et le fera, dans les cafés, dans la rue, bouger, vivre et faire vivre.
 
Il faut que les gens s'expriment. Il faut qu'on les rassemble, qu'on les écoute, qu'on leur donne du grain à moudre et qu'ils reçoivent ce qu'ils sont venus chercher en adhérant au Mouvement Démocrate : une espérance, une information, un réseau, une activité. De tout cela, la période passée a totalement manqué et l'avenir manquera aussi s'il n'y a pas - non pas un simple renouvellement mais - un véritable élan vers l'avenir, vers la génération nouvelle, dans le MoDem parisien.
 
Il y a en France et à Paris un espoir et un doute. L'espoir, c'est qu'un parti républicain et généreux, solide et créatif, ouvert aux nouveaux enjeux du développement durable et de la démocratie numérique, prenne le relais d'une classe politique sclérosée et enfermée dans des routines sempiternelles.
 
Il y a un doute, car le MoDem, sur le terrain, ne prend pas ses repsonsabilités dans ce moment crucial. Et chacun sait que s'il ne les prend pas, c'est parce que des acteurs inadéquats sont placés à certains rouages névralgiques de son organisation.
 
Qu'ils soient inadéquats par mauvaise volonté ou parce que leur vision politique ne correspond plus à l'esprit de l'époque importe peu. Chacun, une fois qu'il a quitté des fonctions dirigeantes, est et sera considéré avec gratitude pour tout l'effort qu'il a fourni et pour tout ce qu'il ou elle a apporté au mouvement à travers les époques et dont chacun connaît la valeur.
 
Mais la société française, la société parisienne, la société francilienne, le destin européen, le futur, nous attendent et exigent que nous placions les meilleurs (comme dit François Bayrou) là où ils seront les plus efficaces à l'épanouissement de nos projets et de nos convictions.
 
C'est pour toutes ces raisons que je suis plus que jamais déterminé à soutenir toutes les initiatives que prendra, pour le MoDem parisien en particulier, notre déléguée nationale, Quitterie Delmas. 

18:17 | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : politique, modem, paris, quitterie delmas | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Maritain sur le Liban : la suite et fin.

...
 
Au Vatican, on attache une grande importance aux relations ainsi nouées avec le Liban, et on compte sur la situation exceptionnelle de ce pays, seul pays chrétien parmi les pays arabes, pour permettre au Saint-Siège d'exercer indirectement une influence protectrice à l'égard des chrétiens de Syrie et du Levant. C'est ce que m'a dit Monseigneur Tardini, et ce que le pape n'a pas manqué de souligner devant M. Frangié quand il l'a reçu. L'échange de lettres a été précédé d'assurances verbales données par M. Frangié, après des discussions assez chaudes avec Monseigneur Tardini, quant à l'exercice du culte au Liban, au respect des oeuvres et des écoles catholiques, à la liberté d'action des évêques ; il paraît probable que dans le document écrit ces assurances ont été mentionnées dans une formule assez vague pour ne pas mettre le gouvernement libanais dans l'embarras vis à vis des musulmans.
 
Les considérations que je viens d'indiquer font que le Vatican, tout en déclarant qu'il n'est jamais pressé, a une certaine hâte de profiter des circonstances et d'arriver à l'établissement de relations diplomatiques. Monseigneur Tardini insiste beaucoup sur l'intérêt que nous-mêmes avons de notre côté à établir sans tarder des relations diplomatiques normales avec l'État libanais. "Vous me demandez d'aller lentement", me disait-il après m'avoir assuré qu'on ne nous devancerait pas, "et moi je vous demande d'aller vite".
 
Ni Monseigneur Tardini ni le pape, auquel j'avais déjà parlé de la question il y a quelques semaines, ne mettent en doute le lien étroit qui unit au Liban les intérêts de la France et ceux du christianisme. Ils tiennent beaucoup au maintien et au développement de nos positions culturelles. Je suis persuadé que si nous savons prendre les devants, et recourir à des initiatives nouvelles, en particulier dans l'ordre de l'enseignement (d'une part enseignement technique, d'autre part culture supérieure) surtout si ces initiatives sont catholiques, et seulement aidées et facilitées par le gouvernement français, la politique culturelle que vous indiquez dans votre lettre pourra nous faire regagner dans un autre ordre ce que nous avons perdu, et au-delà ; il est clair d'autre part que l'appui du Saint-Siège serait acquis à une telle politique culturelle.
 
C'est sur cette importance essentielle de l'action culturelle française et la nouvelle réalisation qu'elle permettra de notre mission traditionnelle de protection de la chértienté au Levant que je compte insister dans l'entretien que j'aurai prochainement avec le pape. Je serai heureux de savoir si à votre avis il conviendrait plus tard comme je le crois, de presser l'argumentation appuyée sur des principes jusqu'à demander que nous soyons consultés lorsqu'il s'agira de désigner un nonce. Il ne semble guère que celui-ci puisse être un Français, mais ce serait une raison de plus pour avoir voix au chapitre.
 
Je pense comme vous que le Saint-Siège profitera des circonstances pour asseoir de plus en plus fermement son autorité sur les rites orientaux. C'est aussi l'opinion du cardinal Tappouni et le cardinal Tisserant semble aller nettement dans ce sens.
 
Le cardinal Tappouni sera retenu à Rome jusque vers la moitié ou la fin de juin par ses travaux à la Congrégation orientale (codification du droit canonique oriental). Je lui ai fait part de votre suggestion et il sera heureux d'aller à Paris, sans doute au début de juillet. Il est visible que l'idée de ce voyage lui fait grand plaisir. Il voudrait ensuite s'embarquer à Marseille pour Beyrouth. Et il n'est pas difficile de comprendre que si le gouvernement français mettait à sa disposition un bâtiment de guerre pour le retour comme il l'a fait pour l'aller, le cardinal en concevrait beaucoup de joie. Ce serait d'ailleurs d'excellente politique. Un navire de guerre français ramenant le cardinal au Liban produirait là-bas, me semble-t-il, une impression utile et profonde.
 
Veuillez agréer, mon cher ambassadeur et ami, l'expression de mes sentiments cordialement et fidèlement dévoués.
 
Jacques Maritain 

29/03/2008

Claude Goasguen, UMP, nouveau maire de Paris 16e : "le débat droite-gauche n'est plus pertinent dans les municipalités".

Coup de théâtre à la mairie du XVIe : la rumeur qui voulait que Claude Goasguen ne soit pas intéressé par la mairie est démentie. Pierre-Christian Taittinger ne s'est pas représenté. Il a fait ses adieux sous un tonnerre d'applaudissement en exprimant sa "considération" pour le MoDem et en arborant une superbe cravate orange. La rumeur veut qu'il se rapproche du MoDem, ainsi que Valérie Sachs, élue conseillère de Paris sur la liste de droite après avoir été cadidate MoDem aux législatives de juin.
 
Dans un silence glacial, sans le moindre applaudissement, Claude Goasguen a été élu maire par 27 voix sur 39 (7 nuls, 1 Taittinger qui ne se présentait pas, 4 Mano PS).
 
Il a ensuite fait une courte allocution pour fixer les grandes orientations du travail municipal : les dossiers de l'arrondissement, le Grand-Paris, l'identité du XVIe. Il a annoncé qu'il ferait un débat d'étape annuel devant les habitants de l'arrondissement. Et toujours pas un applaudissement.
 
Pour finir, il a rendu hommage à son prédécesseur et conclu en demandant qu'il soit applaudi. C'est là qu'il a enfin été applaudi avec lui.
 
Ce n'est pas si grave, avais-je envie de lui dire : Taittinger, maire depuis 19 ans, est forcément regretté. Personnellement, j'ai beaucoup apprécié de travailler avec lui, c'était un excellent maire, mais il faut savoir passer la main, me semble-t-il, et je suis certain qu'il va trouver de nouveaux sujets d'utilité. À Goasguen de se rendre populaire, maintenant, il a sa chance.
 
Lors de l'élection des adjoints, un climat plus tendu a régné : Goasguen ne savait pas que certains des conseillers d'arrondissements n'avaient pas été prévenus qu'ils ne seraient pas adjoints au maire (il n'y en a que 14 ; en fait, sur 30 élus, 11 sont conseillers de Paris et 13 adjoints au maire d'arrondissement - la première adjointe, Danièle Giazzi, est également conseillère de Paris). Il a donc interrompu la séance pour indiquer à trois personnes le verdict.
 
Au passage et pour tous les candidats : si vous vous demandez si vous êtes "sur la liste", c'est en général que vous n'y êtes pas. Ceux qui y sont le savent, on leur demande toutes sortes de documents, ils participent à des conciliabules préparatoires. Si vous n'avez rien de tout ça à proximité d'un vote, c'est que vous n'y êtes pas, sachez-le et cessez de gamberger.
 
Une fois les choses mises au point, Claude a rouvert la séance. Sans grande dignité, Caroline Kovarsky, l'une des évincées, a regretté qu'on n'ait pas tenu la promesse qui lui avait été faite. Avec plus de franchise que de dignité, Claude lui a présenté ses excuses et l'a invitée à venir dans son bureau pour en discuter.
 
Puis la liste des quatorze adjoints a été élue par 27 voix.
 
Et la séance a été levée.
 
Pendant la dernière partie des débats, j'ai pu fournir quelques indications à Béatrice Jérôme, journaliste au "Monde" (ma deuxième du "Monde" cette semaine après Patrick Roger). Elle m'a donné ses impressions de la campagne présidentielle, qui rejoignaient trait pour trait celles de Patrick Roger, ce qui réjouira Quitterie Delmas sur qui elle a par ailleurs fait un papier pendant ladite campagne).
 
Et voilà. Que dire ?
 
En privé (ou devant de petites assemblées dont certains témoins me l'ont rapporté), dans les derniers jours, Claude Goasguen ne s'est pas privé de dire toute l'estime qu'il avait pour François Bayrou et tout l'agacement que lui provoquait Marielle de Sarnez. J'ai l'impression que la vie politique réserve encore bien des surprises. D'un côté Taittinger qui louche vers le MoDem, de l'autre Goasguen qui encense Bayrou, décidément, que reste-t-il de l'UMP ? 

18:29 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : politique, paris 16e, goasguen, taittinger, ump, modem | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Quitterie Delmas pour le MoDem parisien : le débat sur e-soutiens.

C'est Farid Taha, l'un des blogueurs les plus spirituels de la modémosphère, qui a lancé le débat sur e-soutiens : qui de Marielle de Sarnez et de Quitterie Delmas peut le mieux diriger le MoDem parisien et ses 6500 encartés ?
 
Il cite dans son article une note que j'ai publiée durant quelques heures le 2 mars et où j'annonçais très exactement ce qui allait se passer : pas de fusion avec Delanoë et donc presque pas d'élus, ce qui ajouterait la disparition des élus à celle des militants.
 
C'est à la demande de ceux de nos amis qui partageaient mes conclusions que j'ai retiré cette note, qui est toujours disponible sur CoZop.
 
Pour répondre à Farid, il n'y a pas qu'une poignée de militants qui accompagne Quitterie, mais bien plus comme il le constatera bientôt. Et j'ai pleine confiance dans les capacités de notre jeune amie à faire vivre cet équipe qui est un vrai collectif et ainsi, à animer et diriger le mouvement parisien pour les 6500 et pour nos idées. 

Courant avril, je publierai mon premier roman.

Ce sera le premier volet d'une trilogie.
 
Il se déroule à Saint-Domingue (Haïti) au moment de l'indépendance, en 1804. 

11:38 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : littérature, écriture | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook