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09/11/2008

L'expo de mon frère.

Vu le nombre de notes postées aujourd'hui et la fréquentation de mon blog, j'ai l"impression que nos amis sont en week-end et qu'ils font le pont. J'en profite donc pour une spéciale copinage et pour revenir à quelques images que j'ai prises le jour du vernissage de l'expo de mon frère. Après avoir été longtemps éditeur et diffuseur de bronzes animaliers, il a décidé de se lancer et ça démarre pas mal. Du reste, c'est de la bonne déco.

Outre ses morceaux d'animaux et autres figures de bronze, je vous recommande l'interview qu'a bien voulu me donner M. Crouzet, hôte de l'expo dans la galerie (rue de Grenelle, Paris VIIe, près des Ivalides et non loin du siège du MoDem) où il vend des tapis de création populaire marocaine. Très intéressant et méconnu.

Mais rassurez-vous : après cet intermède, je reviens bien vite à Quitterie Delmas.

 

23:24 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : sculpture, tapis, yann torchet, crouzet | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

PaRaDem : je n'ai rien vu, mais je dis tout.

Vous allez enfin tout savoir sur ce qui ne s'est pas passé lors de la réunion des instances non statutaires du PaRaDem vendredi.

Je suis allé voir un film au cinéma, en haut des Champs-Élysées, intitulé "Bouquet final" de Michel Delgado, qui tente de faire rire avec des croque-morts. Un film assez moyen, manquant de structure, mais avec quelques moments vraiment drôles et un Depardieu sphérique et vieilli,  qui "mouille sa chemise" pour sa copine Sylvie Pialat, productrice du film.

En sortant de cette séance, je l'avoue un peu guilleret (ce qui doit faire que le film n'est pas si mauvais que ça), je me suis résigné à aller présenter ma motion Q.D. aux instances du PaRaDem, dans un autre coin de Paris. Il était déjà 19 h 30, j'y suis allé à pied. Quand Je suis arrivé, une bonne heure plus tard, tout était déjà fini des décisions apolitiques, ce qui m'autorise à en parler.

Nous avons bu un très gouleyant vin blanc proposé par François Van Zon, échanson de "L'Imprévu" qui a accueilli deux cafés démocrates stratégiques de Quitterie Delmas fin 2007. Quand je suis arrivé, certains paradémologues avaient déjà fortement usé leur tastevin et, quoiqu'assis, titubaient déjà. On m'a présenté trois militantes socialistes venues grossir les rangs du PaRaDem du slogan "l'ordure injuste", un fond de poubelle assez réjouissant. L'une d'elles était parvenue à s'emparer d'une énorme pile de billets verts, des Spauldings, à l'effigie du Danube de la Pensée du Canton de Lavardac, le président d'honneur du PaRaDem (c'est moi qui le décrète ici), notre ami Vincent Spaulding, grand perceur de coffres-forts devant l'Éternel (c'est-à-dire devant rien).

Spaulding ayant un esprit particulièrement sérieux et formaliste, s'effaça dès mon arrivée, non sans avoir pris quelques photos forcément compromettantes.

J'ai reconnu dans une étrange pénombre phosphorescente les visages de Jeanne-Marie Massip, Guillaume Desrosiers, Mohamed Benamari, MIP, Leroy-Morin, et quelques autres, auxquels se sont joints en cours de route Marie-Laure Tréton et Smaël Sebti.

Nous avons continué à boire débattre jusqu'à une heure très avancée de la nuit, et quand la loi a exigé la fermeture de l'Imprévu, nous avons baissé le rideau et continué à nous abreuver réfléchir dans un cadre privé, ce qui a beaucoup réjoui les fumeurs qui n'étaient plus obligés de sortir fumer sur le trottoir.

Plus tôt, il faut dire que la réunion s'est surtout tenue dehors, les fumeurs étant très majoritaires au PaRaDem. J'en ai profité pour discuter avec une journaliste socialiste royaliste venue là en confiance, que j'ai tartinée éclairée sur les tartes à la crème secrets de la politique française des quarante dernières années et qui a partagé le vin blanc la méditation avec moi.

Au bout d'un certain temps, Michel Hinard, Trésorier milliardaire du PaRaDem, a commencé à ronfler méditer au grand désagrément des deux autres militants restés pour une toute dernière beuverie analyse de rhum-citron stratégie qui a duré dix verres deux heures. Quand Michel a émergé de son coma, vers quatres heures et demi du matin, je m'en suis retourné, à pied, et je suis arrivé chez moi à six heures tapantes, tout plein des émerveillements des abîmes de la pensée paradémologique.

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Prendre le plus con et en faire un président des États-Unis.

Le fait que George W Bush ait été président des États-Unis est un espoir pour tous ceux dont le Q.I. ne dépasse pas 80, mais c'est un signe de profonde dégénérescence pour la démocratie américaine. On a du mal à imaginer que les Américains aient pu élire (il est vrai qu'ils ne l'ont pas fait) et a fortiori réélire ce personnage à la tête de leur État fédéral. Voici une vidéo postée par Bakchich qui condense le meilleur du pire du bientôt ex-président de la première puissance mondiale.

 

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08/11/2008

L'humanisme ne suffit pas.

L'humanisme est notre balise commune. On l'a entendu lors de toutes les récentes assemblées du Mouvement Démocrate : il faut replacer l'homme au centre de la politique. On comprend bien que cette affirmation nous permet de renvoyer dos à dos le capitalisme et le socialisme, tout en fournissant une base idéologique de travail avec un partenaire qui, apparemment, devrait se trouver à notre gauche.

Cependant, il faut le dire, si l'humanisme est la valeur positive de notre action politique commune, eh bien, c'est une valeur un peu molle. On ne fera pas vibrer les foules au seul nom de l'humanisme, on ne les fera pas rêver. Sur l'humanisme, Bayrou fait moins de 7% en 2002 et la récente campagne municipale parisienne, en obtenant le même nombre de voix (à mille près) sur ce même thème de l'humanisme a démontré très crûment que, s'il existe une clientèle très déterminée de l'humanisme, cette clientèle est étroite et ne fournit que l'occasion de candidatures de témoignage.

L'humanisme, c'est bon pour les intellectuels (dont nous sommes) et pour les grands-mères qui tricotent. Ca joue au scrabble, mais ça ne conduit pas l'État. C'est une inspiration, ce n'est pas un étendard.

Les principes, la liberté, l'égalité, sont des étendards. La bonne gouvernance, c'est un étendard. La prospérité, c'est un étendard. Le développement durable, c'est un étendard. Il me semble donc qu'autour de notre diamant humanisme nous devrions déployer un faisceau d'étendards.

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Le sujet de l'élection présidentielle américaine était bien l'égalité.

J'ai mis en regard, mercredi, la carte du vote de la veille et celle de la guerre de Sécession, qui coïncidaient étroitement. Il se trouve que le sujet idéologique central de la guerre de Sécession était le principe d'égalité : interdire l'esclavage, c'est reconnaître que, comme le dit notre "déclaration des droits de l'homme et du citoyen" de 1789, "Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits".

Il se trouve que, dans le siècle qui a suivi la guerre de Sécession, les états sécessionnistes du Sud ont cultivé une identité politique complexe sous l'étiquette démocrate, parce que Lincoln, qui les avait vaincus, était républicain, et que, dans les années 1980, ces états démocrates sont devenus républicains, comme ils sont aujourd'hui, parce qu'ils trouvaient dans la doctrine néoconservatrice une inspiration tournée vers l'inégalité, ce "principe d'inégalité croissante" dont Bayrou a beaucoup parlé ces derniers mois, qui faisait écho à leur nostalgie de l'esclavage et de la supériorité blanche.

L'inégalité était donc la colonne vertébrale qui liait les différentes branches du néoconservatisme et qui permettait à celui-ci de tenir debout en s'appuyant sur un lot de valeurs ultramoralisatrices, toutes compatibles avec l'idée inégalitaire.

En présentant un homme qui n'était pas tout à fait blanc, les démocrates ont fait un choix qui, en fait, quoi que l'on pense de l'homme (et on en pense a priori du bien), rendait son élection nécessaire en révélant les soubassements idéologiques de ses adversaires. Les néoconservateurs se retrouvaient à nu.

Obama ne devait pas seulement gagner parce qu'il était le premier non-blanc in abstracto, mais parce que la société américaine a fait une bonne fois pour toutes les choix de l'égalité de principe de tous les humains. Depuis trente ans, les républicains lénifiaient leur propension à la régression philosophique, la candidature d'Obama les a obligés à appeler un chat un chat, et l'égalité a gagné.

Et parce qu'il s'agissait d'un principe majeur, l'un de ceux qui font tenir toute une société, tout un monde, c'est une réponse historique qui a été donnée, rappelant avec clarté la véritable seconde naissance des États-Unis qu'a été la guerre de Sécession, comme la carte le montre.

C'est une leçon valable en France aussi, la phrase de la Déclaration de 1789 que j'ai rappelée au début de cette note, la première du texte de 1789, aligne d'emblée les deux premiers mots-clefs de notre identité collective : liberté, égalité. deux principes qui doivent nous servir de boussole.

Nous y avons ajouté depuis lors le beau mot de fraternité qui doit être indissociable des deux autres, non pas qu'il soit comme eux un principe (la fraternité ne se décrète pas, ne s'institutionnalise pas), mais parce que sans lui, la liberté et l'égalité sont deux tyrannies symétriques. La fraternité, c'est la part de choix personnel, la part de conscience, qui donne son sens à l'ensemble. Ce n'est pas un principe, c'est à peine une valeur : c'est un élan.

PaRaDem : le drame.

Après une soirée trop arrosée avec les fêlés du PaRaDem, je suis devenu... orange.

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Toutes les tentatives ont été faites, des moyens les plus abjects aux plus absurdes, pour me faire renoncer à animer l'aile quitteriste du PaRaDem, qui me permet de faire le pont avec l'aile quitteriste du GroDem, on a voulu me corrompre par tous les efforts possibles, mais quoi qu'il arrive, rien ne me fera varier.

10:26 | Lien permanent | Commentaires (6) | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

07/11/2008

Quitterie Delmas : le meilleur d'octobre.

J'ai sélectionné plusieurs moments-clefs d'octobre, des discours que Quitterie Delmas a écoutés, des paroles qu'elle a prononcées.

 

10:54 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quitterie delmas, modem | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

06/11/2008

Ma très très grande...

Mais non, je ne parle pas de ma très très grande..., d'ailleurs elle n'est pas si grande que ça, mais du nouveau film de Pierre Jolivet : "Ma très très grande entreprise", avec Roschdy Zem, Jean-Paul Rouve et Marie Gillain.

J'en profite pour signaler le précédent film de cette dernière, "Magique", dont la fréquentation n'a pas été magique, mais où elle interprétait avec gravité et humanité une apicultrice qui élevait quinze millions d'abeilles au fin fond de la campagne québécoise, avant de recevoir un cirque et de tomber amoureuse d'un clown. Une comédie musicale. Un film optant pour une esthétique pauvre et réaliste (sauf quand il s'agit de couper une femme en trois...) qui va sans doute préfigurer un courant entier de la cinématographie de la crise économique qui s'ouvre.

Ayant vu ces deux films, je crois que Marie Gillain est mûre pour les grands rôles sociaux, qui ne vont pas manquer hélas.

Elle est entourée de Roschdy Zem, qui renfile son costard-cravate de vigile de La fille de Monaco, et de Jean-Paul Rouve, restaurateur gay et pas gai.

Le thème du film : la multinationale voyou. Il s'agit d'une entreprise du secteur "agrochimique", qui pollue sciemment et qui provisionne des centaines de millions pour faire face aux éventuelles indemnisations, qui ne l'empêcheront pas de continuer à polluer. Hélas pour cette mégaboîte, une de ses usines vaporise du fluore près d'un étang où Roschdy Zem élève des huîtres, il doit fermer, un fleuriste doit en faire autant et, de proche en proche, le restaurant de Jean-Paul Rouve s'asphyxie. Quant à Marie Gillain, c'est la société de son époux qui est frappée, mais comme il est sous-traitant de la mégaboîte, il préfère empocher une très modique indemnité de 12000 Euros et se taire, si bien qu'elle le quitte.

Ces 12000 Euros sont obtenus à l'issue d'un procès retentissant dont leur avocat est extrêmement fier. Mais que représentent 12000 Euros en regard de deux ans de lutte, d'emplois supprimés ? Nos trois compères veulent faire appel pour obtenir des indemnités plus justes, c'est-à-dire plus élevées. Leur avocat les prévient : pour les suivre, il a besoin d'info supplémentaires, consistantes.

Pour découvrir ces info, il va falloir s'introduire dans le siège mondial de la mégaboîte, une tour de La Défense.

Le film est un peu mou, mais les rapports entre les personnages sont un régal. Le directeur financier de la mégaboîte a un patronyme curieux : il se nomme Boissy d'Anglas de la Sarnaise. DE LA SARNAISE. J'en suis resté perplexe. Mais pour comprendre la façon dont raisonnent les grands groupes pollueurs et corrupteurs mondiaux, il n'est pas inutile d'aller voir Ma très très grande entreprise.

La France n'a pas besoin des subprimes pour ruiner l'État : la preuve.

Le gouvernement commence à reconnaître le fait que j'évoquais voici quelques jours : le naufrage de ses finances publiques. Encore le fait-il avec son habituelle confusion : une dépêche d'agence évoquait un déficit public 2009 à 3,1 % reconnu par Éric Woerth, une autre à 2,9 %.

Quoi qu'il en soit, ce demi-aveu suscite la colère après la lecture de plusieurs articles. La majorité, à force de vivre au milieu des milliardaires, se fait des trains de vie de Sardanapale aux frais des fauchés. L'Assemblée Nationale, la présidence de la république, et bien sûr le gouvernement. La France est décidément une république bananière, gérée par des jocrisses. La cour de Sa Majesté Nullité Suprême (N.S.) Ier ressemblera bientôt à celle de feu l'empereur Bokassa. On est presque surpris de ne pas encore avoir entendu que Nullité Suprême voulait équiper son palais de robinets en or, changer le velours cramoisi pour du drap d'or, le carrelage pour de la nacre, et les lustres de cristal pour des couronnes de diamants.

Vous savez pourquoi Bayrou ferait un bon président de la république ? Parce qu'il est radin.

12:07 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : économie, finances, déficit public, ump, sarkozy | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

05/11/2008

Sans les "erreurs" des traders de l'Écureuil, la BNP et la Générale seraient sur la paille.

C'en est presque touchant : au moment où l'on a annoncé les pertes exceptionnelles de 700 millions d'Euros sur un coup de bourse des traders (qualifiés de "maboules") des caisses d'épargne, on a aussitôt ajouté que la "bévue" de ces joyeux lurons (dont l'un vient depuis lors d'être mis en examen) avait bénéficié ... à la BNP pour les deux tiers et à la Société Générale pour le reste, puisque ces deux sociétés, charitables, avaient accepté d'aider (moyennant finance) l'Écureuil à déplier une position boursière particulièrement épineuse. Si l'on compte bien, 2/3 de 700 millions font un peu plus de 450 millions, et le dernier tiers environ 230. Et par une merveilleuse coïncidence, la Société Génrale vient d'annoncer, ces jours derniers, un bénéfice trimestriel inférieur à 200 millions, et la BNP, supérieur à 500 millions, si bien que sans l'aide et assistance généreuses (snif) qu'elles ont portées à l'Écureuil, l'une se serait retrouvée dans le rouge et l'autre à peine mieux.

C'est si beau, l'entr'aide, entre banquiers...

Dans la même rubrique, je vous signale que le Canard enchaîné indique dans une de ses brèves que les banques américaines sauvées à grands coups de milliards par le plan Paulson s'apprêteraient à distribuer à leurs cadres dirigeants une prime de ... 70 milliards de dollars !

10% du plan Paulson supposé sauver le système bancaire et financier.

70 milliards de dollars de primes pour des gens qui ont tué leurs boîtes et brûlé les économies de millions de petites gens.

70 milliards pour sauver le caviar des banquiers, comme je l'écrivais voici quelques jours... Allez, je vous laisse, je vais dégueuler.

Distancés par la Chine, les États-Unis vont s'intéresser de très près à l'Afrique.

J'ai rendu compte voici déjà plusieurs semaines de l'ouvrage paru chez Grasset, la Chinafrique, qui étudie avec soin l'implantation de la Chine en Afrique depuis plusieurs années, sur fond de retrait de la France à bout de souffle.

À n'en pas douter, l'élection d'un fils de Kenyan à la tête des États-Unis va donner une impulsion nouvelle aux appétits des entreprises américaines en Afrique. Reste à souhaiter qu'Obama ne joue pas là une partition trop cynique et qu'il n'utilise pas sa position pour affaiblir le continent où est né son père.

Par ailleurs, nous avons à défendre en Afrique à la fois la francophonie et le pluralisme linguistique, puisque l'anglais comme le français ont tendance à éradiquer les vieux parlers autochtones africains.

Il n'y a pas eu de vote anti-noir... ah bon ?

Je suis très frappé de la superposition de la carte du vote d'hier soir et de celle de la Guerre de Sécession trouvée sur Wikipedia.

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13:34 | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : présidentielles, états-unis, obama | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

Nuit démocrate : ma dernière vidéo et mon bilan.

La Nuit Démocrate est une belle réussite technique et a rencontré un vrai succès de fréquentation. Christophe Ginisty, Childéric Muller, et bien sûr l'inégalable Quitterie Delmas, ont été parfaits. Reste en revanche de vilains réflexes dans la part moins "connectée" de l'organisation, inacceptables, Quitterie sait lesquels, je ne suis pas près de retourner rue de l'Université.

dernière vidéo de ce que vous ne voyez pas sur l'excellent écran officiel :

 

Nuit démocrate : interviews de Quitterie Delmas.

Voici une avant-dernière vidéo sur la Nuit Démocrate. En publiant la dernière, je donnerai mon bilan de cet événement.

 

04/11/2008

Nuit démocrate : suite des préparatifs.

Deuxième vidéo :

 

Nuit démocrate : première vidéo.

Voici la première vidéo des préparatifs de la nuit démocrate :

 

Nuit démocrate : les préparatifs.

DailyMotion encode ma première vidéo des prépa de la Nuit Démocrate. Guettez l'apparition de la vidéo sur ma page. Je la passerai sur mon blog dès que possible.

Nuit démocrate : j'y serai.

Je ne me suis pas inscrit sur le blog collaboratif de la nuit démocrate consacré à Obama l'élection d'Obama présidentielle lisez Nader américaine et Obama, mais j'y serai avec mon MacBook et ma caméra, et je posterai ce que je pourrai de texte et d'image, notamment de la partie animée par notre Quitterie Delmas.

03/11/2008

Classement wikio de novembre.

Voici comme chaque mois les blogs de modémistes avoués classés parmi les 100 premiers du classement wikio :

5 Ma vie en Narcisse Egal =
17 Christophe Ginisty Baisse -2
19 MonPuteaux.com Progression +4
22 Des Jeunes libres de s'engager Progression +10
33 Hérésie Baisse -11
35 jour-pour-jour Progression +1
38 universitemodem2008 Progression +90
40 le blog de MIP Baisse -9
50 Farid Taha Baisse -24
75 le blog d'Olivier Montbazet Baisse -7
77 Le blog de Hypos Baisse -28
79 Barrejadis Progression +7
90 Savigny en Mouvement Baisse -35
91 Corinne Lepage Baisse -19

Quatorze modémistes avoués sur cent. Bon, évidemment, le Crapaud du Marais n'apparaît pas encore dans le classement et, à l'inverse, le blog éphémère de l'Université de Rentrée n'y apparaîtra pas longtemps. Je me demande d'ailleurs si, étant donné que nous ferons demain du liveblogging, il ne faudrait pas créer une enveloppe généraliste pour tous les livebloggings collaboratifs, de façon à donner de la continuité à ce blog dans le classement qui n'est, il est vrai, pas l'alpha et l'oméga, mais dont je mesure le sens au nombre de liens qui en émanent dans les stat de mon blog.

J'ai été décrocé par Quitterie qui remonte sensiblement vers le haut du classement, mais la tristesse que j'ai de n'être plus son plus proche voisin dans ce classement est très largement compensée par le bonheur que j'ai de la voir rebondir vers les contrées stratosphériques. Elle me donnera décidément tous les bonheurs...

 

 

MM

 

 

 

18:18 | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : wikio, blogs, politique, quitterie delmas | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

La France n'a plus de budget.

On s'en doutait un peu, mais c'est la commission de Bruxelles (merci l'Europe !) qui l'annonce ce matin : le n'importe quoi budgétaire de la majorité nous mène tout droit vers des abimes financiers qui ressemblent diablement au naufrage de l'adiministration Bush. Où sont les belles promesses faites durant la campagne présidentielle sous la pression de la popularité de Bayrou ?

Sur un autre sujet, Hadopi, je vous conseille de courir lire la note de Quitterie Delmas d'aujourd'hui.

13:03 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : économie | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook