08/10/2008
Le retour des services publics.
La logique de privatisation qui prévalait depuis 20 à 30 ans était fondée sur l'idée que la création des grands services publics, dans l'après-guerre, avait été subie par l'occident pour résister à la pression du modèle soviétique sur nos peuples. On va redécouvrir que la création de la SNCF, la modernisation de la poste, l'invention des organismes de sécurité sociale, tout cela avait matérialisé la conclusion tirée par les penseurs des causes de la crise de 1929 et des remèdes à y apporter.
En d'autres termes, l'existence des services publics n'est pas un facteur dogmatique, mais une nécessité pour le bon fonctionnement de l'économie de marché.
Dans ces conditions, il fauit d'urgence réclamer un moratoire sur les privatisations en Europe.
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07/10/2008
Crise financière : tant de copains à placer !
La séance des questions au gouvernement, aujourd'hui, a parfaitement illustré la ligne résolument eurosceptique, voire europhobe, adoptée par la majorité. De toute évidence, selon François Fillon, il n'existe aucune relation entre l'Union Européenne et la crise. D'ailleurs, ce week-end, ce ne sont pas les dirigeants de la zone Euro mais les "grandes puissances" que Sarkozy a réunies. Y a-t-il un lien avec la petite baisse de l'Euro ? Qui sait ?
Un peu plus loin, j'avoue que j'ai frémi à l'idée que le gouvernement labellise les "bons" dirigeants à nommer dans les banques "fautives". D'une part, un gouvernement aussi mauvais économiquement me paraît mal placé pour choisir de bons dririgeants de banque ; d'autre part, on imagine l'énorme occasion qui pourrait s'offrir à Sarkozy et Fillon de placer leurs petits copains à la tête des grands acteurs financiers. Un cauchemar ?
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Le temps des voeux pieux.
Il est très flagrant, ces jours-ci, alors que la bourrasque financière s'abat sur l'Europe, de voir, d'entendre, de lire, toutes sortes de déclarations de principe des grands états, à peu près dans l'esprit du "plus jamais ça" qui a suivi la Ie guerre mondiale.
C'est à qui s'en donnera le plus à coeur joie pour appeler à moraliser les marchés, à sanctionner les indélicats...
Mais que diable n'ont-ils fait tout ça avant, alors qu'ils savaient ?
Décidément, leurs trop beaux sanglots ne sont que des larmes de crocodiles.
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03/10/2008
Tonneau des Danaïdes.
300 milliards en janvier, 600 milliards en septembre, pourquoi pas 1200 milliards en décembre ? C'est comme une drogue, une fois qu'on a mis le doigt dans l'engrenage, impossible de s'arrêter.
Le Canard Enchaîné signale cette semaine un cas semblable qui serait celui de la Caisse d'Épargne, laquelle a pompé 3,2 milliards en janvier et se trouverait en nécessité du double, soit 6,5 milliards.
Diable !
Cela s'appelle une croissance exponentielle, non ? Et si le puits n'a pas de fond ? Et si demain il s'agissait de 1200 milliards et de 13 milliards, puis de 2400 milliards et de 26 milliards ? Qui sait ? Engloutir ainsi des trésors sans connaître la profondeur du trou, est-ce une bonne idée ?
À votre avis ?
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02/10/2008
Crise financière : quelle chance !
La crise financière et bientôt économique arrive à point nommé pour permettre à Sarkozy de s'émanciper de ses promesses de campagne. Finies, les promesses de ne pas augmenter la dette de l'État, finie la promesse de baisser les prélèvements obligatoires, finie la promesse d'augmenter le pouvoir d'achat. À la trappe ! De toutes façons, ces promesses-là, il n'avait jamais eu l'intention de les tenir. Comme disait Pasqua, les promesses n'enngâgent que ceux qui les enntanndent.
Sauf que nous, les promesses, on y croit, n'est-ce pas Quitterie ?
11:06 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : économie, politique, sarkozy, ump, fillon, quitterie delmas | | del.icio.us | | Digg | Facebook
01/10/2008
Crise financière : l'illusion d'une illusion.
J'ai écrit que le Plan Paulson était en quelque sorte un emplâtre sur une jambe de bois. Aussitôt volée de bois vert décernée contre mon hérésie par un spécialiste en la matière, L'Hérétique, et un diplôme de suicidaire galonné décerné par le Dr Ginisty. Je lis aujourd'hui un article d'hier de l'excellent blog "Les coulisses de Bruxelles" sur la nationalisation "provisoire" de Fortis par les autorités de feu le Benelux, avec l'idée que, bien entendu, cette nationalisation n'est que transitoire, le temps que les marchés "reprennent leurs esprits".
Ce ne serait donc que cela ? une crise d'hystérie collective ? Une brutale illusion ? Les marchés financiers auraient des vapeurs et, le temps de jeter un peu d'eau froide sur la machine, tout rentrerait dans l'ordre ?
Mais alors, L'Hérétique et Ginisty auraient raison. Argh.
Mais non, ils ont tort. Le réseau Alcibiade, tout d'abord, a étayé (dans les commentaires) mon affirmation profane par celle d'un spécialiste dénommé Rubini, dont j'invite à consulter l'opinion ici. Ensuite, Frédéric Lefèvre-Naré (à ne pas confondre avec le liberticide Frédéric Lefebvre, il y a soi dit en passant des avantages à porter un nom rare comme Torchet, on s'y trouve rarement en mauvaise compagnie), Frédéric Lefèvre-Naré, donc, ayant observé que nous étions lui, Christophe Ginsty et moi des non-spécialistes, et que nous devions conséquemment faire preuve de modestie, je lui ai rétorqué amicalement que, vu que ce sont les spécialistes qui ont fichu le système par terre, il était peut-être temps de s'adresser à d'autres...
La crise actuelle est affaire de bon sens. Comme je l'ai écrit voici plusieurs jours, "on ne peut pas indéfiniment traire la même vache sans lui faire produire des veaux de temps à autre". C'est un problème d'adéquation de la production à la richesse.
On y trouve la conjugaison d'une bulle financière monstrueuse, d'un appauvrissement des habitants du pays le plus riche du monde (dû entre autres à la baisse du dollar), de l'incurie d'un système destiné à produire de l'argent coûte que coûte, de la financiarisation de l'économie qui en découle, et d'une pure et simple surchauffe.
La surchauffe est une phase de croissance économique aiguë, violente, démesurée, un emballement de la machine, qui conduit toujours à la dépression.
Or le monde vient de traverser une période de surchauffe, matérialisée par la frénésie du cours des matières premières, par un taux de croissance mondiale très fort, qui ne pouvait que déstabiliser les rouages de l'économie de notre planète (ce qui n'est que le moindre de ses inconvénients avec la déforestation, la pollution, la détérioration de notre planète et de notre avenir). Après la surchauffe, la dépression.
On comprend bien que les gouvernements européens cherchent à éviter la panique, mais doivent-ils pour autant mentir ?
La crise n'est pas que financière, c'est une dépression économique profonde, il n'y aura pas de retour des marchés au statu quo ante (et hanté). C'est pourquoi il est illusoire de prétendre empêcher le système financier de s'écrouler : ce serait impossible.
Il faut laisser l'offensive de l'ouragan se déployer et intervenir seulement au moment où elle faiblira. Tout ce qui sera fait entre-temps sera perdu.
Et pour éviter la panique, on peut aussi choisir mieux sa banque, merci Quitterie, et aller consulter la note des Amis de la Terre. Évidemment, choisir sa banque paraît un luxe, beaucoup de gens se contentent de l'établissement qui veut bien d'eux, mais c'est moins vrai qu'il ne semble et, pour ceux qui peuvent, cela devient une double responsabilité.
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30/09/2008
L'échec du plan Paulson est une bonne nouvelle.
Il faut laisser le système financier s'effondrer. Il y a à cela plusieurs raisons.
La première est d'ordre moral : le système financier a commis une faute, il s'est arrogé une puissance excessive, il s'est voulu le maître, puis il a mésusé de sa puissance. Il s'est trompé, il a commis des fautes impardonnables qui sont pour beaucoup dans l'effondrement actuel. Il n'existe donc aucune raison de sauver le système financier mondial.
Laissons-le s'effondrer puis, si besoin est, recontruisons-en un autre avec ce qui sera resté de solide dans la débâcle.
Mes lecteurs vont me trouver sévère, voire glacial, au regard des conséquences de ce que j'appelle de mes voeux : l'implosion. Ils vont, comme la presse, la télé, comme Paulson, comme tant d'autres, trouver qu'"on ne peut pas laisser faire". Mais si. On peut. Et je dirais même plus : on doit.
En janvier, j'écrivais que le plan de relance de l'économie américaine ne servirait à rien d'autre qu'à cramer 300 milliards de dollars. Dans un premier temps, les 300 milliards ont paru efficaces, puis la réalité s'est remanifestée, en pire. Dépenser 700 milliards de plus n'aurait été qu'une folie supplémentaire : on n'arrête pas la mer avec les mains.
Le système financier est un jeu d'apparences, de confiances croisées, de paris sur du papier, du papier rédigé avec du vent. Une fois que le masque du papier a révélé le vent, l'ouragan se lève.
Et le voici, l'ouragan, il monte, il souffle, il tonne, il jette des éclairs. Il approche.
Qui a lu "Typhon" de Joseph Conrad sait qu'il ne sert à rien de marcher contre le cyclone : il faut au contraire se laisser porter par lui, se lier à lui, c'est ainsi qu'on le traverse en limitant les pertes. Laissons le cyclone passer. C'est après qu'il faudra réinjecter de l'argent dans tout ça, pas avant, encore moins pendant.
La guerre en Irak a coûté au moins 1500 milliards de dollars aux États-Unis. 1500 milliards de dollars, c'est à peu près le coût de la crise des subprimes. Ces 1500 milliards ont cruellement manqué à l'économie américaine, de là l'étendue de la crise.
Qu'on se le dise et qu'on se le redise : il n'y a pas de prospérité dans la guerre, pas de bonheur, pas même de destin. Dans la guerre il n'y a, comme disait Chrchill, que "du sang et des larmes".
Cette crise qui s'ouvre, nul ne peut en prévoir l'étendue ni la fin. C'est pourquoi il est illusoire de vouloir dépenser de l'argent qui n'existe pas pour sauver des entreprises qui n'existent plus.
Au lieu de nationaliser des banques, le gouvernement américain ferait mieux de nationaliser les fonds de pension. D'une part, parce que la logique purement rapace qui les a mus porte une lourde responsabilités dans l'implosion du système, en ayant découplé la logique financière de la logique industrielle, d'autre part parce qu'on n'ose pas imaginer le nombre de retraités américains que l'effondrement du système financier peut priver de ressources.
Cet argent-là serait utilement dépensé et d'ailleurs, cette nationalisation-là devrait coûter tout juste un Euro symbolique.
Et quand je pense qu'au milieu du cyclone, alors que le bateau fait eau de toute part, l'urgence absolue, LA priorité du gouvernement français, c'est de faire passer son funeste projet Hadopi au forceps, au nez et à la barbe de l'Europe... il y a de quoi se la prendre et se la mordre.
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18/09/2008
L'Amérique se cherche-t-elle un nouveau modèle de croissance ?
François Bayrou le rappelait lors de l'Université de rentrée des Démocrates, les États-Unis ont opéré, dans les années 1970-80 un revirement profond de leur modèle de croissance : jusque-là, c'est par la classe moyenne que l'essor se nourrissait, par l'accession du grand nombre à une consommation abondante, et donc par un modèle fondé sur un enrichissement des modestes. Avec le reaganisme, l'inégalité est devenu le moteur de la croissance. Bayrou en concluait : "méfions-nous car, voyez-vous, ça marche ! ce système marche !"
Ah bon ?
Est-ce si sûr ?
La crise actuelle n'est-elle pas au contraire le fruit de l'accentuation des inégalités depuis 25 ans ? Le fait que l'on évoque sans cesse la crise de 1929 (et non pas celle de 1973) n'est-il pas significatif du fait qu'inconsciemment, nous savons que c'est parce que le pouvoir américain est revenu sur de nombreuses réformes du "new deal" de Roosevelt qu'aujourd'hui les États-Unis sont plus fragiles qu'hier ?
La croissance par l'inégalité s'est accompagnée d'un développement faramineux des nouvelles technologies de l'information. Le moteur de la croissance, dans le dernier quart de siècle, ce fut l'informatique, puis ce qu'on appelait au début en France (vers 1986-7) les "autoroutes de l'information", l'Internet. Or le modèle américain, comme Cendrars le montre très bien dans son roman "L'Or", est fondé sur la logique des filons, on trouve un filon, tout le monde se précipite, on exploite le filon, on l'use jusqu'à la corde, jusqu'au-delà de l'épuisement, puis on passe à un autre filon. Et le filon informatique est tari, il porte encore une croissance, certes, mais insuffisante pour devenir le moteur d'une économie. Il est en vitesse de croisière. Il faut donc trouver un autre filon.
Pour certains, c'est la guerre. La logique de la guerre en Irak est en effet très keynésienne, du point de vue américain : par la dépense publique, on relance la croissance. La recherche militaire peut servir à toute l'économie, Internet est là pour le prouver, et donc non seulement la fabrication d'armes nourrit des ouvriers, mais la reherche des industries d'armement propose l'avenir. C'est la logique de Bush et celle de McCain. en fait, c'est un échec, car rien n'en est sorti de solide cette fois-ci.
L'autre hypothèse que l'on rencontre, c'est l'économie durable, l'économie écologique. Là, les gisements de croissance sont énormes et les industriels américains, paraît-il, déjà tout prêts, dans les starting-blocks.
Seulement, cette économie-là nécessite des revirements culturels profonds de l'Amérique. Elle est incompatible avec McCain, incompatible avec le tout-pétrole, avec en fait tout ce qui s'est dit et pensé dans les milieux américains depuis déjà de nombreuses années.
La croissance par l'écologie, si elle voit le jour, signifiera donc une nouvelle mutation en profondeur de l'éthique sociale, sans doute un retour vers l'idée d'égalité, de développement par le grand nombre. La crise actuelle solde peut-être la période précédente, ce n'est peut-être qu'une épouvantable purge avant un rebond qui sera salutaire dans tous les sens du terme, et que les Américains, ont le voit bien, identifient clairement avec Obama.
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19/08/2008
Confusion budgétaire.
La majorité pratique la confusion : confusion des pouvoirs, confusion des rôles, confusion tout court tant tout y est nébuleux, et c'est la France qui finit doublement confuse, honteuse et égarée.
Puisque le président s'expose en président de l'Europe, courant de Moscou à Tbilissi, il faut que le premier ministre parle de l'Europe aussi : le voilà qui réclame une coordination des politiques économiques des pays européens. Ce faisant, il chevrote des incantations de père-la-rigueur que sa politique dément par la masse des cadeaux faits aux amis du régime et par le manque d'imagination abyssal des prétendues réformes économiques et sociales qui ne sont que la satisfaction des préjugés de la frange la plus rétrograde du patronat. Les déficits s'ouvrent, plaies béantes, sans remède autre que les microcosmiennes bisbilles au sommet de l'État.
Il y a peut-être une part de mise en scène dans ces bagarres de l'Olympe répubicain. Mais devant l'électeur, le char tiré par deux chevaux dont l'un braque à l'ouest, l'autre au septentrion, ne pourra guère prétendre à la victoire. On voit mal comment leur campagne européenne pourrait aboutir, tiraillée entre euroscepticisme et volontarisme européen.
En vérité, le problème central de l'Europe, outre l'absence du citoyen, est qu'un pays veuille y détenir le leadership : l'Allemagne demande trop et ne se montre pas assez modeste pour que l'idée européenne puisse continuer à s'épanouir sereinement. Cette réalité est perçue par les Européens et ajoute aux irritations courantes manifestées lors des référendums. L'Europe se fait à plusieurs ou pas du tout. C'est d'ailleurs aujourd'hui le problème du volontarisme : nos partenaires ont rarement envie de faire progresser l'Europe, même quand nous l'avons, ce qui est de plus en plus rare.
Dès lors, le discours de François Fillon réclamant une coordination économique européenne ne peut être interprété comme une initiative européenne, mais plutôt comme une phrase marketing française. L'Europe, entraînée dans la confusion générale, n'est plus qu'un hochet.
Vivement que nous ramène sur le chemin des vrais sujets l'excellente Quitterie Delmas.
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31/05/2008
Le coût d'État permanent.
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28/05/2008
Le mensonge de la concurrence.
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26/05/2008
Une louche pour les grandes surfaces.
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19/05/2008
La France s'appauvrit.
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07/05/2008
Trichet a raison.
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04/04/2008
Rigueur, économies, la méthode du saupoudrage.
18:03 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : politique, économie | | del.icio.us | | Digg | Facebook
27/03/2008
La désespérance n'a pas diminué.
13:26 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique, économie, modem, quitterie delmas, bayrou, sarkozy, ps | | del.icio.us | | Digg | Facebook
20/03/2008
L'économie du livre au seuil d'un cataclysme.
12:03 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : livre, économie | | del.icio.us | | Digg | Facebook
04/03/2008
Lutte contre l'inflation : l'imposture.
14:57 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : politique, économie, attali, fillon, leclerc | | del.icio.us | | Digg | Facebook
26/02/2008
L'inquiétude monte dans les forces vives de l'économie.
12:06 | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : économie, tpe, ifop, quitterie delmas | | del.icio.us | | Digg | Facebook
21/02/2008
Les prix augmentent de 2,8% en un an ; et vous, vous avez été augmenté ?
10:40 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : économie, inflation, prix, Volvic, Candia, McDo, statistiques | | del.icio.us | | Digg | Facebook